Emmaüs, Médecins du Monde, ou encore la Cimade, ont refusé vendredi le discours du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb. Réunis place Beauvau, les acteurs associatifs ont quitté le bureau de l’ex-maire de Lyon après ses explications sur le recensement des personnes accueillies en hébergement d’urgence, dénonçant une logique de tri. L’exécutif défend, lui, une méthode d’identification, pour rediriger ceux qui doivent être pris en charge par d’autres structures et libérer des places pour les sans-abri.
Emmaüs, Médecins du Monde, ou encore la Cimade, ont refusé vendredi le discours du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb. Réunis place Beauvau, les acteurs associatifs ont quitté le bureau de l’ex-maire de Lyon après ses explications sur le recensement des personnes accueillies en hébergement d’urgence, dénonçant une logique de tri. L’exécutif défend, lui, une méthode d’identification, pour rediriger ceux qui doivent être pris en charge par d’autres structures et libérer des places pour les sans-abri.