Pas question de rentrer dans une logique "de recensement, d’étiquetage et de triage", a dénoncé Patrick Doutreligne, le président de l’Union nationale d’associations sanitaires et sociales (Uniopss), à l’issue de la réunion. Si demandeurs d’asile et réfugiés pourront prétendre à un accueil par la France, les déboutés et tous ceux enregistrés dans un autre pays européen devront quitter le pays.
Pour les associations, le recensement "franchit trois lignes rouges : l’accueil inconditionnel, le non-respect de la loi informatique et libertés si on nous demande de transmettre des listes, et d’éventuelles interventions de la police dans les centres", a averti Patrick Doutreligne. Sur Twitter, Médecins du Monde s’inquiète aussi d’une augmentation du nombre de personnes à la rue et "une plus grande précarisation".
Pas question de rentrer dans une logique "de recensement, d’étiquetage et de triage", a dénoncé Patrick Doutreligne, le président de l’Union nationale d’associations sanitaires et sociales (Uniopss), à l’issue de la réunion. Si demandeurs d’asile et réfugiés pourront prétendre à un accueil par la France, les déboutés et tous ceux enregistrés dans un autre pays européen devront quitter le pays.
Pour les associations, le recensement "franchit trois lignes rouges : l’accueil inconditionnel, le non-respect de la loi informatique et libertés si on nous demande de transmettre des listes, et d’éventuelles interventions de la police dans les centres", a averti Patrick Doutreligne. Sur Twitter, Médecins du Monde s’inquiète aussi d’une augmentation du nombre de personnes à la rue et "une plus grande précarisation".