Ce n’est pas seulement les ISA et l’Europe, il y a des exactions contre les migrants aux quatre coins du monde...
L’Algérie les balance dans le désert nigérien. L’Afrique du sud les fait disparaître... Le Mexique s’en débarrasse... Ils meurent en Tanzanie...
Un bilan de l’Associated Press a documenté au moins 56 800 migrants morts ou disparus dans le monde depuis 2014, soit près du double du nombre constaté lors de l’unique tentative officielle du monde visant à les compter, par l’Organisation internationale pour les migrations des États-Unis. Au 1er octobre, le nombre de victimes à l’OIM était supérieur à 28 500. L’AP a trouvé près de 28 300 migrants supplémentaires morts ou disparus en compilant des informations auprès d’autres groupes internationaux, demandant des enregistrements médico-légaux, des rapports de personnes disparues et des actes de décès, et en triant des données issues de milliers d’entretiens avec des migrants.
Deux naufrages et la mort d’au moins 368 personnes au large des côtes italiennes en octobre 2013 ont motivé les recherches de l’OIM sur les décès de migrants. L’organisation s’est concentrée sur les décès en Méditerranée, bien que ses chercheurs plaident pour davantage de données provenant d’autres régions du monde. Cette année seulement, l’OIM a constaté plus de 1 700 décès dans les eaux qui divisent l’Afrique et l’Europe.
Ce n’est pas seulement les ISA et l’Europe, il y a des exactions contre les migrants aux quatre coins du monde...
L’Algérie les balance dans le désert nigérien. L’Afrique du sud les fait disparaître... Le Mexique s’en débarrasse... Ils meurent en Tanzanie...
Un bilan de l’Associated Press a documenté au moins 56 800 migrants morts ou disparus dans le monde depuis 2014, soit près du double du nombre constaté lors de l’unique tentative officielle du monde visant à les compter, par l’Organisation internationale pour les migrations des États-Unis. Au 1er octobre, le nombre de victimes à l’OIM était supérieur à 28 500. L’AP a trouvé près de 28 300 migrants supplémentaires morts ou disparus en compilant des informations auprès d’autres groupes internationaux, demandant des enregistrements médico-légaux, des rapports de personnes disparues et des actes de décès, et en triant des données issues de milliers d’entretiens avec des migrants.
Deux naufrages et la mort d’au moins 368 personnes au large des côtes italiennes en octobre 2013 ont motivé les recherches de l’OIM sur les décès de migrants. L’organisation s’est concentrée sur les décès en Méditerranée, bien que ses chercheurs plaident pour davantage de données provenant d’autres régions du monde. Cette année seulement, l’OIM a constaté plus de 1 700 décès dans les eaux qui divisent l’Afrique et l’Europe.