Le sursaut de l’économie est alimenté par un rebond de la dette chinoise, qui dépasse déjà 260% du PIB : si les prêts bancaires ont nettement reculé en mars, les crédits associés à la « finance de l’ombre » non régulée (ensemble de mécanismes de prêts entre entreprises et particuliers) se sont envolés à un niveau record.« Une partie de cette croissance robuste se poursuivra probablement au deuxième trimestre. Mais au vu de l’accélération du crédit, il faut s’attendre à voir bientôt l’économie s’essouffler à nouveau », juge Julian Evans-Pritchard, de Capital Economics.
Le sursaut de l’économie est alimenté par un rebond de la dette chinoise, qui dépasse déjà 260% du PIB : si les prêts bancaires ont nettement reculé en mars, les crédits associés à la « finance de l’ombre » non régulée (ensemble de mécanismes de prêts entre entreprises et particuliers) se sont envolés à un niveau record.« Une partie de cette croissance robuste se poursuivra probablement au deuxième trimestre. Mais au vu de l’accélération du crédit, il faut s’attendre à voir bientôt l’économie s’essouffler à nouveau », juge Julian Evans-Pritchard, de Capital Economics.