Les syndicats « réformistes » ont choisi de ne pas s’associer à une manifestation et une grève contre la loi El Khomri.
Les autres ont choisi de ne pas s’associer à la manifestation des jeunes du 9 mars et à ne pas rajouter à la grève de la SNCF et de la RATP en « souhaitant le succès du 9 » sans appeler au 9 et en appelant au 31 !
L’extrême gauche avait fait, une fois de plus, comme si on pouvait soutenir les initiatives syndicales dans ce qu’elles ont de positif : le 9.
Elle a, une fois de plus, pris ses désirs pour des réalités et fait comme ci c’était le meilleur moyen de redonner vie à la lutte des classes.
Les syndicats « réformistes » ont choisi de ne pas s’associer à une manifestation et une grève contre la loi El Khomri.
Les autres ont choisi de ne pas s’associer à la manifestation des jeunes du 9 mars et à ne pas rajouter à la grève de la SNCF et de la RATP en « souhaitant le succès du 9 » sans appeler au 9 et en appelant au 31 !
L’extrême gauche avait fait, une fois de plus, comme si on pouvait soutenir les initiatives syndicales dans ce qu’elles ont de positif : le 9.
Elle a, une fois de plus, pris ses désirs pour des réalités et fait comme ci c’était le meilleur moyen de redonner vie à la lutte des classes.