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30 avril 2017 08:27
La stratégie de Theresa May se confronte au délitement progressif du Royaume-Uni aujourd’hui tiraillé par l’Écosse et l’Irlande du Nord qui aspirent à d’autres rattachements. Le gouvernement écossais de Nicola Sturgeon s’oppose au Hard Brexit de Theresa May et a accéléré le projet du second référendum pour l’indépendance de l’Écosse – étape nécessaire pour rester au sein de l’Union européenne – en le soumettant au vote du Parlement écossais – d’abord reporté suite à l’attaque à Londres le 22 mars, le vote en faveur de l’indépendance a finalement été remporté le 28 mars 2017. Malgré l’opposition catégorique de (...)