Jour après jour, le Liban s’enfonce dans la crise syrienne. Une semaine après un attentat à la voiture piégée qui a fait 27 morts dans le fief du mouvement chiite libanais Hezbollah, dans la banlieue sud de Beyrouth, des mosquées sunnites de Tripoli ont à leur tour été la cible d’attaques meurtrières, vendredi 23 août.
Vers midi trente, un premier attentat à la voiture piégée a visé la mosquée Al-Taqwa, située à proximité du quartier de Bab El-Tebbaneh, théâtre récurrent d’affrontements entre des sunnites, partisans de la rébellion syrienne, et des alaouites du quartier voisin de Jabal Mohsen, soutiens du régime de Bachar Al-Assad. Des centaines de fidèles y étaient réunis pour la prière du vendredi. Sept minutes plus tard, un deuxième attentat touchait la mosquée Al-Salam, dans le quartier résidentiel d’Al-Mina.
Jour après jour, le Liban s’enfonce dans la crise syrienne. Une semaine après un attentat à la voiture piégée qui a fait 27 morts dans le fief du mouvement chiite libanais Hezbollah, dans la banlieue sud de Beyrouth, des mosquées sunnites de Tripoli ont à leur tour été la cible d’attaques meurtrières, vendredi 23 août.
Vers midi trente, un premier attentat à la voiture piégée a visé la mosquée Al-Taqwa, située à proximité du quartier de Bab El-Tebbaneh, théâtre récurrent d’affrontements entre des sunnites, partisans de la rébellion syrienne, et des alaouites du quartier voisin de Jabal Mohsen, soutiens du régime de Bachar Al-Assad. Des centaines de fidèles y étaient réunis pour la prière du vendredi. Sept minutes plus tard, un deuxième attentat touchait la mosquée Al-Salam, dans le quartier résidentiel d’Al-Mina.