Quand la bourgeoisie voulait faire crever de faim autant qu’étouffer sous les calomnies le révolutionnaire Karl Marx…
15 septembre 2018, 09:06
« Pour qui a connu Marx, aucune légende n’est plus ridicule que celle qui le représente comme un homme hargneux, sombre, inflexible et inabordable, une sorte de Jupiter tonnant retranché dans l’Olympe d’une solitude impénétrable, constamment occupé à lancer ses foudres et sans jamais le moindre sourire sur les lèvres. Une description pareille du plus gai et joyeux des hommes, de l’homme à l’humour pétillant et au rire contagieux, du plus gentil, tendre et sympathique des camarades de jeu constitue une source permanente de stupéfaction et d’amusement pour quiconque l’ait connu. »
« Pour qui a connu Marx, aucune légende n’est plus ridicule que celle qui le représente comme un homme hargneux, sombre, inflexible et inabordable, une sorte de Jupiter tonnant retranché dans l’Olympe d’une solitude impénétrable, constamment occupé à lancer ses foudres et sans jamais le moindre sourire sur les lèvres. Une description pareille du plus gai et joyeux des hommes, de l’homme à l’humour pétillant et au rire contagieux, du plus gentil, tendre et sympathique des camarades de jeu constitue une source permanente de stupéfaction et d’amusement pour quiconque l’ait connu. »
Eleanor Marx-Avelling (1895)