Trump a accordé la grâce présidentielle au shérif Joe Arpaio, reconnu coupable en juillet d’avoir violé l’injonction d’un juge fédéral lui interdisant les patrouilles discriminatoires qui ont fait sa notoriété. Auto-proclamé « shérif le plus dur d’Amérique » et partisan affirmé de Donald Trump – il est apparu plusieurs fois à la tribune de ses meetings –, Arpaio, 85 ans, a incarné pendant un quart de siècle un maintien de l’ordre xénophobe dans le comté de Maricopa, en Arizona. Assumant ouvertement un ciblage discriminatoire des Hispaniques, dans une lutte sans états d’âme contre l’immigration illégale. « Le shérif Joe Arpaio a maintenant 85 ans et, après plus de cinquante ans d’admirable service pour notre pays, il mérite un pardon présidentiel », écrit un communiqué de la Maison Blanche, diffusé vendredi soir. « Il a protégé l’Arizona ! » s’est exclamé, dans la foulée, Donald Trump sur Twitter.
Trump a accordé la grâce présidentielle au shérif Joe Arpaio, reconnu coupable en juillet d’avoir violé l’injonction d’un juge fédéral lui interdisant les patrouilles discriminatoires qui ont fait sa notoriété. Auto-proclamé « shérif le plus dur d’Amérique » et partisan affirmé de Donald Trump – il est apparu plusieurs fois à la tribune de ses meetings –, Arpaio, 85 ans, a incarné pendant un quart de siècle un maintien de l’ordre xénophobe dans le comté de Maricopa, en Arizona. Assumant ouvertement un ciblage discriminatoire des Hispaniques, dans une lutte sans états d’âme contre l’immigration illégale. « Le shérif Joe Arpaio a maintenant 85 ans et, après plus de cinquante ans d’admirable service pour notre pays, il mérite un pardon présidentiel », écrit un communiqué de la Maison Blanche, diffusé vendredi soir. « Il a protégé l’Arizona ! » s’est exclamé, dans la foulée, Donald Trump sur Twitter.