Mélenchon a courtisé les forces de répression dans sa campagne...
Jean-Luc Mélenchon a abordé, jeudi, ses projets en matière de sécurité, un passage obligé pour celui qui s’est lancé depuis février dans la course à la présidentielle. Dans un discours sur l’antiterrorisme, le chef de file du mouvement de la France insoumise a saisi l’occasion du premier anniversaire des attentats du 13 novembre.
« Nombre d’entre vous ont compris que les pareil au même, les pire en pire que sont les siamois du Parti socialiste et des Républicains qui ont amené l’État à ce point de décomposition, qui ont gesticulé et utilisé si irresponsablement votre autorité, au point que la majorité d’entre vous n’a plus confiance en eux », a-t-il déclaré, en s’adressant directement aux policiers et militaires.
Reconnaissant que « c’est nouveau » dans sa « famille politique », que « des généraux, des amiraux, des colonels (...) demandent à nous rencontrer », il a affirmé : « solennellement : je suis votre point d’appui ».
« Parce que les autres, rien de ce qu’ils ont entrepris n’a marché. Tout échoue continuellement », a-t-il constaté. « Peut-être que le président de la République a fait assassiner personnellement quatre personnes, ça ne s’est pas traduit par des résultats extraordinaires sur le terrain ici », a-t-il ajouté, en référence aux confessions de François Hollande dans « Un président ne devrait pas dire ça... ».
Au cours de cette matinée, Jean-Luc Mélenchon a présenté son programme de réforme de la police, de la gendarmerie et des services de renseignement intitulé « Sécurité : retour à la raison ».
Mélenchon a courtisé les forces de répression dans sa campagne...
Jean-Luc Mélenchon a abordé, jeudi, ses projets en matière de sécurité, un passage obligé pour celui qui s’est lancé depuis février dans la course à la présidentielle. Dans un discours sur l’antiterrorisme, le chef de file du mouvement de la France insoumise a saisi l’occasion du premier anniversaire des attentats du 13 novembre.
« Nombre d’entre vous ont compris que les pareil au même, les pire en pire que sont les siamois du Parti socialiste et des Républicains qui ont amené l’État à ce point de décomposition, qui ont gesticulé et utilisé si irresponsablement votre autorité, au point que la majorité d’entre vous n’a plus confiance en eux », a-t-il déclaré, en s’adressant directement aux policiers et militaires.
Reconnaissant que « c’est nouveau » dans sa « famille politique », que « des généraux, des amiraux, des colonels (...) demandent à nous rencontrer », il a affirmé : « solennellement : je suis votre point d’appui ».
« Parce que les autres, rien de ce qu’ils ont entrepris n’a marché. Tout échoue continuellement », a-t-il constaté. « Peut-être que le président de la République a fait assassiner personnellement quatre personnes, ça ne s’est pas traduit par des résultats extraordinaires sur le terrain ici », a-t-il ajouté, en référence aux confessions de François Hollande dans « Un président ne devrait pas dire ça... ».
Au cours de cette matinée, Jean-Luc Mélenchon a présenté son programme de réforme de la police, de la gendarmerie et des services de renseignement intitulé « Sécurité : retour à la raison ».