Accueil > ... > Forum 49152

C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique

21 mai 2020, 08:44, par Robert Paris

Premièrement, nous remarquons que les glaciers qui fondent le font par au-dessus et non par en dessous. Ce n’est donc pas l’air qui les réchauffe mais la terre ! Le permafrost sibérien fond par le dessous, provoquant ces immenses "trous de l’enfer" qui inquiètent le monde depuis 2013.

Deuxièmement, nous remarquons de nombreux phénomènes d’origine souterraine en augmentation : volcanisme, tsunamis, tremblements de terre, sources de chaleur géothermique. Des zones inhabituelles, ou avec une virulence inhabituelle, sont touchées.

Troisièmement, nous remarquons que la température du manteau terrestre augmente de manière très importante alors qu’une augmentation de la température atmosphérique ne peut nullement agir sur le manteau.

Quatrièmement, nous remarquons que le sol ne se réchauffe, et notamment que les glaciers ne fondent, qu’à proximité de remontées de chaleurs souterraines, notamment de volcans ou de sources chaudes.

Cinquièmement, toutes les méthodes de mesure indirecte de la température du noyau donnent des estimations beaucoup plus élevées que ce que l’on obtenait autrefois.

Sixièmement, des grands trous s’ouvrent dans la surface terrestre qui ne peuvent provenir que d’un réchauffement souterrain nouveau.

Septièmement, le fait que des parties de l’Antarctique fondent et d’autres soient de plus en plus froides et glacées (justement des zones avec remontées de chaleur souterraines, notamment volcaniques) ne peut provenir d’un réchauffement global.

Huitièmement, l’océan se réchauffe plus vite que l’atmosphère. C’est un fait qui n’a aucune interprétation possible dans le réchauffement global causé par l’effet de serre, qu’il soit d’origine humaine ou pas.

Neuvièmement, la thèse du réchauffement climatique globale d’origine l’effet de serre, qui n’est pas un fait d’observation mais une interprétation plus que discutable, est fondée sur un prétendu paramètre appelé « température moyenne globale » qui n’a pas de réalité physique. Paradoxalement, ce qui nécessite d’utiliser ce paramètre dans la théorie réchauffiste provient justement du fait que le réchauffement n’est nullement global, que des régions chauffent (celles où on trouve des remontées chaudes venues des profondeurs) et d’autres refroidissent !!!

Dixièmement, Notre contradicteur nous reproche le fait que le volcanisme agisse sur la chaleur dans deux sens contradictoires et c’est vrai. Sauf que les gaz à effet de serre agissent eux aussi dans deux sens contradictoires, les nuages par exemple étant aussi bien cause de réchauffement que de refroidissement.

Onzièmement, l’étude des phases de croissance des gaz à effet de serre (CO², H²O et NH4) comparée à celle des températures terrestres dans l’histoire de la Terre montre que la hausse de température précède celle des gaz en question. D’autre part, on constate que les trois gaz augmentent en teneur dans l’atmosphère en même temps les uns que les autres, ce qui demande une explication, une cause qui les précède tous les trois, et cette cause ne peut être que le grand volcanisme.

Douzièmement, l’étude de la Terre démontre l’existence de phases de grand volcanisme qui ont détruit des espèces et ont produit les grands traps. C’est ce grand volcanisme qui est source de changements radicaux de la chaleur terrestre et pas le seul effet de serre.

Treizièmement, la hausse des ouragans et trombes marines ne peut absolument pas s’interpréter par l’effet de serre.

Quatorzièmement, les partisans de la hausse de température globale dans un hémisphère sont contraints de cacher toutes les phases froides dans l’autre, contraints aussi à bien des mensonges comme s’est caractérisé le GIEC.

Quinzièmement, le GIEC et la plupart des chauds partisans du réchauffement anthropique global à effet de serre ont fait la démonstration de leur lien avec l’industrie nucléaire qu’il crédite d’être sans effet de serre pour lui donner une allure écolo et propre, qui est loi d’être la réalité !

Seizièmement, Jobert nous accuse de faire de la fausse science alors que c’est la chasse aux sorcières contre de véritables climatologues qui a été utilisée par les partisans du réchauffement à effet de serre pour interdire les articles scientifiques disant le contraire, ceux de Courtillot ou de Leroux notamment.

Lire aussi

Lire encore

Lire toujours

L’article de Georges Jobert affirme de manière péremptoire qu’ » on ne trouve pas de trace d’une augmentation récente du nombre d’éruptions »…
Et aussi qu’en matière de tremblements de terre, « il n’y a pas eu de changement significatif au siècle dernier. » !!!!

Voir ici :

Pour le volcanisme

Pour les tremblements de terre

Pour l’interprétation des courbes qui fondent la thèse du réchauffement global anthropique par le volcanisme

Lire aussi

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.