Dans la semaine qui a suivi l’investiture du président américain Donald Trump et la proclamation de son programme réactionnaire « les États-Unis d’abord », le gouvernement libéral du Canada a commencé à renforcer considérablement le partenariat d’Ottawa avec les États-Unis au plan militaire et de la sécurité.
Dans des conditions où Trump est en train de déclarer une guerre commerciale, d’affirmer qu’il faut « s’emparer du pétrole irakien » et de menacer de prendre possession des îles détenues par la Chine en mer de Chine méridionale, l’élite dirigeante du Canada tente d’intégrer davantage le Canada aux plans de guerre de Washington.
Le premier ministre canadien Justin Trudeau a parlé à Trump au téléphone le lendemain de l’investiture et a discuté de la tenue d’une première rencontre en personne dans les semaines à venir. En reconnaissant implicitement qu’une alliance plus étroite avec Trump sera hautement impopulaire, les responsables canadiens ont suggéré que la rencontre soit tenue aux États-Unis, par crainte que la présence de Trump à Ottawa provoque des manifestations de masse.
Dans la semaine qui a suivi l’investiture du président américain Donald Trump et la proclamation de son programme réactionnaire « les États-Unis d’abord », le gouvernement libéral du Canada a commencé à renforcer considérablement le partenariat d’Ottawa avec les États-Unis au plan militaire et de la sécurité.
Dans des conditions où Trump est en train de déclarer une guerre commerciale, d’affirmer qu’il faut « s’emparer du pétrole irakien » et de menacer de prendre possession des îles détenues par la Chine en mer de Chine méridionale, l’élite dirigeante du Canada tente d’intégrer davantage le Canada aux plans de guerre de Washington.
Le premier ministre canadien Justin Trudeau a parlé à Trump au téléphone le lendemain de l’investiture et a discuté de la tenue d’une première rencontre en personne dans les semaines à venir. En reconnaissant implicitement qu’une alliance plus étroite avec Trump sera hautement impopulaire, les responsables canadiens ont suggéré que la rencontre soit tenue aux États-Unis, par crainte que la présence de Trump à Ottawa provoque des manifestations de masse.