« Ce n’est pas par la terreur que l’on fait des armées (...). Pour notre armée, le ciment le plus fort, ce furent les idées d’Octobre. »
(Léon Trotsky)
Trotsky publie l’ordre du jour n° 158 exigeant le respect de la vie des prisonniers :
« Camarades soldats de l’Armée rouge ! Épargnez les prisonniers ! Recevez amicalement les transfuges. Dans l’armée blanche, les ennemis vénaux, corrompus, sans honneur, les ennemis du peuple travailleur sont une insignifiante minorité. La majorité écrasante est faite d’hommes dupés ou mobilisés de force. Une part importante même des officiers de la Garde Blanche combat contre la Russie soviétique sous la menace de la trique, ou parce qu’elle a été trompée par les agents des financiers russes et anglo-français et des propriétaires. » Et Trotsky souligne plus loin que son appel « ne s’adresse pas seulement aux simples soldats, mais aussi aux officiers ».
« Ce n’est pas par la terreur que l’on fait des armées (...). Pour notre armée, le ciment le plus fort, ce furent les idées d’Octobre. »
(Léon Trotsky)
Trotsky publie l’ordre du jour n° 158 exigeant le respect de la vie des prisonniers :
« Camarades soldats de l’Armée rouge ! Épargnez les prisonniers ! Recevez amicalement les transfuges. Dans l’armée blanche, les ennemis vénaux, corrompus, sans honneur, les ennemis du peuple travailleur sont une insignifiante minorité. La majorité écrasante est faite d’hommes dupés ou mobilisés de force. Une part importante même des officiers de la Garde Blanche combat contre la Russie soviétique sous la menace de la trique, ou parce qu’elle a été trompée par les agents des financiers russes et anglo-français et des propriétaires. » Et Trotsky souligne plus loin que son appel « ne s’adresse pas seulement aux simples soldats, mais aussi aux officiers ».