Deux semaines après l’empoisonnement des Skripals, Londres n’a toujours pas fourni d’échantillons du poison à Russie, comme l’exige la Convention sur l’interdiction des armes chimiques (CIAC), ou à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) de l’ONU.
Nonobstant, le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, a réitéré hier que la piste dans l’affaire d’empoisonnement des Skripals « mène inexorablement au Kremlin ». Selon lui, la Russie a de grandes réserves d’un agent neurotoxique « novitchok ». Il a dit à la BBC, « Nous avons des preuves que pendant ces 10 dernières années, la Russie a non seulement étudié comment utiliser des agents neurotoxiques dans des assassinats, mais a également créé et stocké du novitchok ».
Deux semaines après l’empoisonnement des Skripals, Londres n’a toujours pas fourni d’échantillons du poison à Russie, comme l’exige la Convention sur l’interdiction des armes chimiques (CIAC), ou à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) de l’ONU.
Nonobstant, le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, a réitéré hier que la piste dans l’affaire d’empoisonnement des Skripals « mène inexorablement au Kremlin ». Selon lui, la Russie a de grandes réserves d’un agent neurotoxique « novitchok ». Il a dit à la BBC, « Nous avons des preuves que pendant ces 10 dernières années, la Russie a non seulement étudié comment utiliser des agents neurotoxiques dans des assassinats, mais a également créé et stocké du novitchok ».