Chez Renault, le syndicat Force ouvrière s’est intéressé aux flux financiers entre le siège français et les filiales du groupe (Belgique, Luxembourg, Russie, etc.) qui transitaient via une curieuse société, la Société financière et foncière, banque d’affaires dotée de 106 millions d’euros au moment de sa dissolution en 2009, sans contrôle des actionnaires. "Ces actifs ont été transférés non pas sur les comptes de Renault mais dans une plateforme virtuelle située en Suisse, s’étonne l’avocat Jean-Paul Baduel. Pour le moment il n’y a aucun élément qui permet de dire que c’est une caisse noire ou une caisse grise ou blanche. On est dans des opérations financières non expliquées."
Chez Renault, le syndicat Force ouvrière s’est intéressé aux flux financiers entre le siège français et les filiales du groupe (Belgique, Luxembourg, Russie, etc.) qui transitaient via une curieuse société, la Société financière et foncière, banque d’affaires dotée de 106 millions d’euros au moment de sa dissolution en 2009, sans contrôle des actionnaires. "Ces actifs ont été transférés non pas sur les comptes de Renault mais dans une plateforme virtuelle située en Suisse, s’étonne l’avocat Jean-Paul Baduel. Pour le moment il n’y a aucun élément qui permet de dire que c’est une caisse noire ou une caisse grise ou blanche. On est dans des opérations financières non expliquées."