Nationalisez les pertes, privatisez les gains, telle est la politique de Macron comme de ses prédécesseurs. On ne peut pas se dire surpris, on le sentait venir depuis un moment, avec les intenses campagnes de dénigrement de la SNCF et de ses travailleuses et travailleurs depuis plusieurs mois. Désormais, le gouvernement joue la fermeté thatchérienne et agite la haine et la division parmi la population, en ciblant le cheminot : “Voilà le privilégié !”. Pour contrer cette rhétorique écœurante, plusieurs mensonges sont à dénoncer, plusieurs vérités sont à rétablir : ce ne sont ni les "privilèges" des cheminots ni les "bas prix du rail" qui creusent la dette mais la gourmandise des prêteurs et les bénéfices des trusts !
Nationalisez les pertes, privatisez les gains, telle est la politique de Macron comme de ses prédécesseurs. On ne peut pas se dire surpris, on le sentait venir depuis un moment, avec les intenses campagnes de dénigrement de la SNCF et de ses travailleuses et travailleurs depuis plusieurs mois. Désormais, le gouvernement joue la fermeté thatchérienne et agite la haine et la division parmi la population, en ciblant le cheminot : “Voilà le privilégié !”. Pour contrer cette rhétorique écœurante, plusieurs mensonges sont à dénoncer, plusieurs vérités sont à rétablir : ce ne sont ni les "privilèges" des cheminots ni les "bas prix du rail" qui creusent la dette mais la gourmandise des prêteurs et les bénéfices des trusts !