L’APHP – hôpital public, aux mains des démolisseurs comme pour tout le service public
19 mars 2018, 13:16
Alors que tout le monde, patients comme personnels de santé, dénonce la casse de l’hôpital public organisée par le gouvernement et par le PDG de l’APHP Hirsch, ce dernier se permet de se présenter dans les média comme dénonçant la situation actuelle de l’APHP et comme s’opposant aux sacrifices, tout en prétendant qu’ « il comprend le souci d’économies du gouvernement » et en affirmant qu’il demande plus de moyens en journée et moins en séjour…
Il affirme que « la contrainte budgétaire ne sera supportable qu’avec des transformations profondes de l’hôpital ».
En somme, il va justifier les sacrifices (finances, salaires du personnel, effectifs et moyens) par des « réformes » destructrices et les soi-disant réformes par les sacrifices…
Notamment il se sert de l’ambulatoire pour casser tout le reste et, là-dessus, il est sur la même longueur d’onde que le gouvernement !
Et il conclue : « Il y a un sentiment qui va de la lassitude à la souffrance. »
Comme s’il n’était pas le grand responsable de tout ce gâchis !!!
Comme s’il n’avait pas directement organisé massivement la casse des conditions de travail du personnel et la dégradation de l’accueil des patients et les avoir défendus contre les personnels en grève.
Décidément, c’est bel et bien une lutte commune cheminots-personnels de santé qui serait immédiatement nécessaire !!! En attendant de la relier à la lutte des postiers, des travailleurs du privé et autres chômeurs !
Alors que tout le monde, patients comme personnels de santé, dénonce la casse de l’hôpital public organisée par le gouvernement et par le PDG de l’APHP Hirsch, ce dernier se permet de se présenter dans les média comme dénonçant la situation actuelle de l’APHP et comme s’opposant aux sacrifices, tout en prétendant qu’ « il comprend le souci d’économies du gouvernement » et en affirmant qu’il demande plus de moyens en journée et moins en séjour…
Il affirme que « la contrainte budgétaire ne sera supportable qu’avec des transformations profondes de l’hôpital ».
En somme, il va justifier les sacrifices (finances, salaires du personnel, effectifs et moyens) par des « réformes » destructrices et les soi-disant réformes par les sacrifices…
Notamment il se sert de l’ambulatoire pour casser tout le reste et, là-dessus, il est sur la même longueur d’onde que le gouvernement !
Et il conclue : « Il y a un sentiment qui va de la lassitude à la souffrance. »
Comme s’il n’était pas le grand responsable de tout ce gâchis !!!
Comme s’il n’avait pas directement organisé massivement la casse des conditions de travail du personnel et la dégradation de l’accueil des patients et les avoir défendus contre les personnels en grève.
Décidément, c’est bel et bien une lutte commune cheminots-personnels de santé qui serait immédiatement nécessaire !!! En attendant de la relier à la lutte des postiers, des travailleurs du privé et autres chômeurs !