Soi-disant pour défendre les cheminots, le syndicaliste réformiste Martinez discute tout seul…
Reçu hier par le premier ministre Édouard Philippe, Philippe Martinez est ressorti déçu de la réunion. « Nous avons présenté un projet mais le gouvernement refuse de discuter », a-t-il affirmé ce matin.
Mais il continue à discuter !!!
« Le vrai sujet aujourd’hui, ce n’est pas la question de savoir s’il y aura un mouvement social (...), c’est la question (de) comment on l’évite », a estimé le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger sur Europe 1. « Il y a ceux qui voudraient à tout prix le faire, comme ça, on montrerait les gros bras de chaque côté. Je me demande si parfois le gouvernement n’est pas dans cette stratégie-là aussi pour essayer de montrer que finalement il y aurait des privilégiés qui feraient grève » afin de pouvoir ensuite « revoir les choses plus en profondeur », a-t-il ajouté.
Le syndicalisme réformiste est « en marche » donc à reculons…
Soi-disant pour défendre les cheminots, le syndicaliste réformiste Martinez discute tout seul…
Reçu hier par le premier ministre Édouard Philippe, Philippe Martinez est ressorti déçu de la réunion. « Nous avons présenté un projet mais le gouvernement refuse de discuter », a-t-il affirmé ce matin.
Mais il continue à discuter !!!
« Le vrai sujet aujourd’hui, ce n’est pas la question de savoir s’il y aura un mouvement social (...), c’est la question (de) comment on l’évite », a estimé le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger sur Europe 1. « Il y a ceux qui voudraient à tout prix le faire, comme ça, on montrerait les gros bras de chaque côté. Je me demande si parfois le gouvernement n’est pas dans cette stratégie-là aussi pour essayer de montrer que finalement il y aurait des privilégiés qui feraient grève » afin de pouvoir ensuite « revoir les choses plus en profondeur », a-t-il ajouté.
Le syndicalisme réformiste est « en marche » donc à reculons…