Décidément, la direction de l’hôpital public, en recherche de petites économies ridicules, a décidé de frapper les petits déjeuners, les déjeuners comme les diners ! Tout est comptabilisé, surveillé, rationné. C’est jusqu’aux plateaux repas des patients de nuit qui sont surveillés un par un. Et pour les nouveaux patients, pas de plateau d’avance. Tant que le patient n’est rentré et couché, rien n’est préparé. L’hôpital dépense des milliards en bâtiments, en financements d’informatique, de logiciels, mais refuse des centimes pour donner à manger aux malades !
Manger tue ?
La collation de la crèche de Cochin a été supprimée et le plus extraordinaire dans cette affaire n’est pas l’austérité et les économies de bouts de chandelle : on y est habitués ! Non, ce qui est tout à fait fameux, c’est qu’ils ont affirmé que c’était un moyen de lutter contre l’obésité parmi les enfants ! Un peu comme un service ortho qui couperait des jambes pour éviter des maladies…
On rationne !
Décidément, la direction de l’hôpital public, en recherche de petites économies ridicules, a décidé de frapper les petits déjeuners, les déjeuners comme les diners ! Tout est comptabilisé, surveillé, rationné. C’est jusqu’aux plateaux repas des patients de nuit qui sont surveillés un par un. Et pour les nouveaux patients, pas de plateau d’avance. Tant que le patient n’est rentré et couché, rien n’est préparé. L’hôpital dépense des milliards en bâtiments, en financements d’informatique, de logiciels, mais refuse des centimes pour donner à manger aux malades !
Manger tue ?
La collation de la crèche de Cochin a été supprimée et le plus extraordinaire dans cette affaire n’est pas l’austérité et les économies de bouts de chandelle : on y est habitués ! Non, ce qui est tout à fait fameux, c’est qu’ils ont affirmé que c’était un moyen de lutter contre l’obésité parmi les enfants ! Un peu comme un service ortho qui couperait des jambes pour éviter des maladies…