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Scandales industriels : qui empêchera les trusts de mentir, de nuire, de détruire, de tuer ?

6 août 2020, 13:49, par Éphraïm

Remplacer le Lévothyrox : est-ce possible ?

Pour remplacer ce médicament toxique, d’autres médicaments sont proposés suite au changement de la formule du médicament.

Depuis des années, une amie souhaitait arrêter ce médicament. Elle a pris pendant environ 10 ans ce truc toxique du fait d’une hypothyroïdie diagnostiquée depuis encore plus longtemps.

Il y a 1 ans, je lui ai proposé d’espacer les prises : tous les deux jours, puis tous les trois jours, puis 4, 5, 6, 7 pour peu à peu, sur quelques mois, ne prendre plus qu’une prise tous les 15 jours, puis arrêter complétement. J’avais moi-même tenté cela pour d’autres médicaments : espacer les prises ou diminuer les doses.

Le hic, c’est que les anciens symptômes sont revenus : fatigue, perte de cheveux principalement, mais moins nettement que lors d’un arrêt brutal des prises il y a 2 ou 3 ans.

Laisser le corps travailler et l’aider à travailler.

Il a fallu réfléchir et discuter. Prendre des renseignements sur le net, puis en parler en pharmacie et parapharmacie. Les jeunes pharmaciens rencontrés ont été agréables, et en discutant peu à peu, on trouve des personnes compétentes intéressées à aider à faire les choix en vue des molécules de substitutions. Les pharmaciens restent des commerçant et parmi eux, il existe des professionnels plus ou moins compétent et plus ou moins impliqués. Une seule discussion ne peut généralement suffire, il s’agit de trouver la personne qui soit capable d’accompagner les raisonnements.

Le principe essentiel que j’ai découvert il y a environ 6 mois, c’est qu’ il s’agit que le corps produise de lui-même ce qu’il a besoin .

On peut l’aider pour cela, mais les formules chimiques des laboratoires sont faites pour une chose : rendre dépendant le corps pour pouvoir vendre pendant des années leur camelote et parallèlement se faire reconnaitre par l’état et la sécu pour des profits juteux. Alors, il s’agit de trouver des béquilles qui permettent de laisser tomber ces poisons et, peu à peu, aider le corps à produite ce dont il a besoin. Mais cette démarche coûte cher, les substituts n’étant pas des médicaments, ils ne sont pas remboursés !!!

Voici ce qui m’a aidé pour les problèmes d’insomnies chroniques :

Depuis des années, je cherche à remplacer les molécules remboursées au profit de la sécu par des molécules moins toxiques et par des extraits de plantes, voici quelques exemples que j’ai exploré :

> mélatonine pour aider à s’endormir et éviter les benzodiazépines toxiques et provoquant des dégénérescence neuronales (Alzheimer probablement).
> remplacement de la mélatonine par l’acide aminé Tryptophane qui permet au corps de produire sa propre mélatonine
> escholtzia ou valériane pour détente et repos et pour limiter les réveils nocturnes.
> aubépine, ballotte passiflore pour la détente et le repos ou l’endormissement.

Il existe des mélanges et dosages bien connus mais je ne souhaite pas faire de la publicité pour l’un ou l’autre des laboratoires capitalistes ici.

Bien sûr, il a fallu aussi éviter les écrans le soir, faire de l’exercice physique, éviter toutes les drogues, en premier lieu le vin et l’alcool, changer l’alimentation peu à peu, travailler à une rééducation globale du corps. Une pilule miracle n’existe pas pour résoudre tous les problèmes, d’ailleurs, le problème fondamental et commun, c’est le capitalisme et sa mort qu’il s’agit d’acter pour changer le monde.

Les séances de psychanalyse winnicottienne permettent aussi d’identifier et de sentir peu à peu à partir des souvenirs, et avec la compréhension de l’incarnation des concepts de refoulement, d’imago maternelle, de traumatisme, arrêter de minimiser des douleurs avec lesquelles on se détruit au quotidien.

Application hasardeuse et empirique de cette démarche concernant le Lévothyrox et son remplacement :

Pour revenir au remplacement du Lévothyrox, en me renseignant, j’ai découvert qu’il existait des extraits de plantes commercialisés et non remboursés, et surtout une molécule qui permet au corps de travailler. Il s’agit de la Tyrosine. Cette molécule permet à ce que la thyroïde travaille d’elle-même, alors qu’avec le Lévothyrox et ses supposés remplaçants le principe reste que la thyroïde ne travaille pas, c’est le médicament qui fait le boulot, et ainsi, les laboratoires vendent chaque mois leur dose de poison. Il faudrait maintenant voir si on peu se passer de la Tyrosine après quelques mois de traitement.

Je tiens à ce témoignage de réflexion dans la vie personnelle, car j’ai lu et pris des médicaments depuis mon plus jeune âge sans jamais chercher à interroger les symptômes et leurs causes. Le pouvoir médical s’empare très jeune de tout individu, et ce d’autant plus que l’on a des médecins dans nos proches.

Complicité de la médecine officielle

J’aimerais être en mesure d’entrer bien plus dans ces questionnements, mais la science officielle étant liée à la logique de profits, des marchés capitalistes, j’ai du mal à trouver les médecins qui acceptent ma démarche. Mon médecin traitant est devenu hostile à ma personne et rigole quand je veux éviter les anti-inflammatoires en prenant de l’harpagophytum.

Malgré les affects négatifs lors de mes échanges avec ce médecin, je sais cependant que ce n’est pas une affaire personnelle : les médecins sont formés à prescrire et à répondre à un symptôme par des molécules chimiques issues de l’industrie. Le DSM IV et surtout le DSM V sont synthèses de prescriptions de médicaments face à un symptôme. Les dictionnaires de médicaments sont les références pour ces médecins et pour les universités qui délivrent les diplômes de médecins.

L’éducation thérapeutique à intégrer à un programme révolutionnaire de destruction des institutions du capital

Face à ce déni de la prévention et de l’éducation thérapeutique, face au lobby industriel dévastateur de nos vies, et tout en préparant la révolution, il s’agit de se tenir informés, de devenir son propre médecin.

Mais cela ne suffit pas, et ne suffira jamais : rester en bonne santé aujourd’hui, est absolument nécessaire pour faire face à tout ce qui nous empêche d’avancer dans la voie de la destruction des institutions surannées qui maintiennent la propriété privée des moyens de production et qui n’ont d’autre but que d’écraser l’humanité pour maintenir la logique de profits.

C’est donc tout ce système capitalo-médical qu’il s’agit de remettre en cause, et seule une révolution ouvrière et prolétaire détruisant les institutions du passé pourra permettre les base d’une remise en cause de ce système. Et encore, il faudra surveiller à ce que les bureaucrates de tout bord ne s’emparent de ces questions !

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