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Quelle relation entre matière et énergie ?

27 janvier 2019, 16:33, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

Bonjour ;

___Laissant de coté momentanément ce FEYNMAN, voici quelques remarques sur certaines phrases de votre article.

●●[Certes, la matière possède une masse inerte et pas le rayonnement, mais la lumière a cependant une masse et son parcours est courbé par la présence d’une masse, ce qui signifie que l’énergie possède une masse relativiste.]

___La courbure du rayonnement n’est pas forcément liée à une masse même très infime de ce rayonnement, car il peut exister d’autres phénomènes pour courber un rayonnement indépendamment des masses quelconques. On peut cependant attribuer une très petite masse aux rayonnements qui n’est pas décelable, car la géométrie de ce rayonnement empêche toutes mesures de masse. Dans le même esprit mais plus simpliste, comment mesurer le volume d’un liquide, qui ne fait que s’étaler, car il n’y a pas de borne ou frontière pour définir des limites... Si des grosses sphères de liquide existent dans l’espace sans utiliser les frontières des objets qui ont une géométrie permettant de créer des frontières, des limites existent quand même qui sont celles de la gravitation. C’est donc la grande quantité de liquide qui permet par la masse de générer des frontières fictives. Ainsi si le fond des océans est chaotique car ce liquide d’eau il épouse les reliefs profonds de notre terre, la surface des océans est elle par contre très lisse car c’est une contrainte de la gravitation à plaquer ces liquides sur une masse importante.

___Donc OUI l’énergie possède une masse, car l’énergie est du mouvement avant toutes choses, et du mouvement sans masse n’est pas une réalité possible, ce qui veut dire que les particules éphémères du quantique ont une obligation de posséder une masse, car justement cette énergie du vide sont des déplacements de ces particules virtuelles même éphémères. Une énergie sans masse est une aberration, car une masse nulle ne donne aucune énergie. Le problème de la mesure de masse, est que nous ne pouvons pas mesurer certaines masses qui sont beaucoup trop petites, et on considère alors qu’elles sont de masses nulles. Mais estimer des masses sur des objets très lointains comme les première galaxies de notre monde n’est guère mieux, car on reporte les notions de masses de notre présent proche, pour évaluer des masses sur des passés très lointains, et est-ce une vérité ?? Ceci est tellement vrai, que l’on s’étonne de voir des étoiles d’une génération très vielles et de masse très importante, qui ne devrait pas exister dans notre présent proche, ce qui veut dire que les environnements du passé, n’ont pas les mêmes conditions que l’environnement de notre présent proche. On croit s’éloigner du sujet masse-énergie, mais la masse est relative suivant les échelles où on essaie d’évaluer les masses, mais aussi les masses sont relatives fonction de l’évolution de notre monde, ce qui veut dire que la notion de masse de très vieux passés, n’est pas la même que la notion de masse de notre présent. D’ailleurs en parlant de rayonnement et donc de photons, on peut se demander de quelle échelle il fait parti ce fameux photon ??

___Pour résumer on peut dire que la forme de l’énergie du passé par rapport à notre présent à changée, mais que la quantité est toujours la même, ce qui n’est même pas sûr d’ailleurs !!! Même si cette belle phrase dit le contraire : : Tout se transforme rien ne se perd. Car en fait nous n’en savons strictement rien. Si on considère "QUE" notre portion de monde de quinze milliards d’années, et bien cette phrase est fausse, car l’énergie se dilate se disperse, et ce sans parler de l’expansion, car l’énergie gagne du terrain, si on peut le dire comme cela, c’est à dire de l’espace vide de vide, et ce même si on considère notre vrai monde beaucoup plus grand que cette portion de notre faux monde où nous sommes enfermé et dont nous sommes le centre par obligation. L’énergie ne se génère pas d’elle même, malgré ce qui est dit trop souvent, car nous tomberons dans l’absurdité de dire que la quantité d’énergie augmente, par le simple fait que cette énergie du vide ne fait que grossir indéfiniment, ce qui n’aurait aucune validité en sens physique du terme. Il y a un espace sans fin qui n’est qu’un contenant, et dans cet espace le vide de vide, un vide est plein qui est son contenu, et qui change même en fonction de l’évolution de notre monde, mais que ce vide plein n’augmente pas en énergie, mais se transforme en d’autres énergies. On peut même considérer que la matière se dégrade pour libérer une grande partie d’énergie sous une autre forme, la rendant ainsi au vide plein de l’espace. Même si au niveau quantique, les créations et les désintégrations sont une forme d’énergie, la cadence se ralentie sans que l’on puisse voir quoi que ce soit, car à cette échelle, de toutes façons on ne voit rien et c’est seulement à grande échelle que l’on puisse voir une évolution de cette énergie de ce tout petit, car la notion de temps du tout petit n’existe pas mais elle est forcément quelque chose que l’on ne maîtrise pas. Alors la moitié d’un temps que l’on connaît pas peut que se voir qu’à l’échelle du grand. Pour le redire autrement, l’énergie du vide quantique de l’espace se voit réellement en grande partie qu’à des échelles très grandes.

●●[Une propriété essentielle de la matière, la répulsion matière-matière à courte distance, est donc produite par l’énergie !
Plus deux matière se rapprochent, plus il y a d’énergie entre elles pour les repousser.]

___Une phrase qui est contraire à l’effet Casimir, car le fait de rapprocher deux plaques surfaciques, cet effet Casimir diminue l’énergie du vide entre deux plaques, donc plus on rapproche ces plaques, et plus l’énergie du vide devient moindre. Maintenant y a t-il un seuil où le rapprochement devient une limite ?? Donc indirectement la matière à un effet sur la matière, car la matière diminue le vide plein d’énergie, et donc même si la matière ne touche réellement une autre matière, les effets de rapprochements sont contradictoires car cela permet de créer une sorte de dépression du vide et donc de dire qu’il y a attraction ou énergie négative comme il est dit. Mais à un seuil donné la matière devient répulsive sur une autre matière car c’est ce qui est dit de la force nucléaire forte qui tend à repousser. Donc généraliser devient une erreur, car cela dépend des échelles et donc des rapprochements des matières, et donc l’énergie entre matière matière et celle du vide quantique ne sont pas les mêmes, car l’une provient de la matière elle-même comme si cela était une auto défense à très courte distance, et l’autre énergie est celle du vide et où la matière réduit cette énergie et donc rapproche les plaques, car le vide non affecté par cet dépression pousse de la même façon les plaques, ce qui veut dire qu’entre les plaque cela est une dépression par rapport au contexte. Mais il est nul besoin d’"effet Casimir pour se rendre compte que la matière attire la matière car la gravitation est cet effet. Maintenant est-ce que l’effet Casimir est le même effet que la gravitation, cela reste en suspend, car on ne sait toujours pas démontrer ce qu’est la gravitation...

●●[L’une des formes de cette dialectique de la matière-énergie est l’opposition entre matière virtuelle et matière réelle fondée sur l’opposition entre matière et antimatière, et aussi sur l’opposition entre charges électriques positives et négatives. Et il y en a encore d’autres comme l’opposition dialectique entre virtuel du vide quantique et l’état sous-jacent appelé virtuel de virtuel !]

___Je ne sais pas si matière et anti-matière soient de réelles oppositions, car un quark est composé de charges différentes et opposées, et pourtant un certain équilibre existe forcément. Donc suivant des échelles c’est une opposition entre charges opposées et pour d’autres échelles c’est un équilibre, et qui dit équilibre dit contraire d’opposition. Ce monde du quantique est tout et son contraire, car il y en fait plusieurs échelles d’oppositions comme d’équilibres. Équilibre même durable car protons et neutrons sont les bases de la matière, et que dans mon concept, la constitution de ces protons et neutrons sont en fait des électrons et de positrons opposés en charge, et réduit et concentré, et donc complètement différents de l’état demi-libre, où ces électrons et positrons ont une structure très floue et élargie. On peut dire simplement que suivant les échelles les effets sont contraires, donc cela peut rapprocher des particules comme aussi les repousser, et il y a des échelles et des concentration qui font qu’il existe un équilibre.

●●[Ainsi, pour beaucoup de physiciens ou une particule est chargée électriquement de manière positive ou elle l’est de manière négative. C’est ignorer que, grâce au nuage de polarisation constitué de couples particule-antiparticule qui entoure la particule chargée en s’orientant en fonction de cette charge forme des couches successivement négative et positive qui "écrante" la charge de la particule de masse inerte dite réelle. Cela signifie que, pour une particule de matière chargée qui s’approche de plus en plus, l’autre particule chargée est successivement positive et négative, et se transforme sans cesse de particule négative en particule positive !!! Eh oui, tous les contraires s’échangent sans cesse : : l’attraction en répulsion, la charge en son opposé, le corpuscule en onde, etc...]

___Je ne pense pas que des couples de particules virtuelles de charges opposées puissent être une notion réelle, car dans d’autres article vous dites le contraire en disant que quand ces couples se forment ils se détruisent, donc la notion de couple est plus d’éphémère, et on pourrait même dire qu’elle n’existe pas, car quand elle existe elle disparaît forcément. Mais de cette réflexion dépend en fait de quelle particule dont on parle, car si c’est un neutron ou un proton, ces éléments les constituants sont de charges opposées formant un équilibre stable, et un déséquilibre d’un petit plus pur le proton. Si c’est un quark cela est encore valable car des charges opposées sont en équilibre. Maintenant quand on parle dé l’électron ou du positron, et bien est-ce que les constitutions de ces éléments sont mixtes en charge ?? Est-ce que les éléments formant un électron sont de même charge ?? Un électron n’est pas d’un bloc compacte mais forme une structure malléable composé forcément d’entités plus petites que j’appelle des grains. Et un ensemble de grains calibrés en nombre définissent cette structure-champ de l’électron et du positron. Maintenant est-ce que cet ensemble de grains définissant un électron est de même charge ?? Il suffit d’un seul grain négatif pour déséquilibrer l’électron pour qui soit de charge négatif que l’on connaît, et que le reste de ses grains soit divisible par deux et de charges opposées. Maintenant ces grains de deux charges possibles que j’ai assimilé à des particules virtuelles de très bas niveau, peuvent-ils se grouper par deux pour faire un couple de charge nulle résultante ?? Pour poser une vraie question, est-ce l’électron est constitué d’éléments d’une même charge, ou est-ce qu’une charge apparente d’être un moins, et que le reste des éléments le constituant soit de charges opposées mais en nombre égal et donnant donc un équilibre de charge ??

___Il est chiant le JFP qui n’y connaît rien et qui pose des questions aussi délirantes !!!

Amicalement.
JFP/Jean-François POULIQUEN.

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