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« Comment un observateur se déplaçant à la vitesse de la lumière (aux côtés du photon lumineux) voit-il le monde ? » ou le paradoxe de la relativité restreinte

18 décembre 2018, 00:15, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

(...) Suite du commentaire trop long, voilà le reste : :

— -Maintenant pour reprendre le sujet de cet article qui est en gros une question "qu’est-ce que voit le photon ?", et bien je dirai que le photon ne voit strictement rien devant lui, ni même sur les cotés et encore moins dernière lui. Mais pourquoi dire encore moins derrière lui ?? Et bien ses petits frères ou même cousins vont exactement à la même vitesse que lui, ce qui fait que le photon ne voit que du noir derrière lui, car aucun de ses frères ou cousins peuvent le rattraper. Le photon ne peut pas voir aussi ses frères ou cousins devant lui venant de la même source et allant dans la même direction que lui, car venant de la même source émettrice, ils sont aussi pour lui qu’une supposition car ils vont à la même vitesse que lui, ce qui fait qu’il n’y a aucun lien entre ces mêmes particules de lumière venant d’une même source et allant à la même vitesse. Donc le photon ne voit strictement rien et on peut dire qu’il ne voit que du noir. Maintenant si d’autres sources de lumière existent hors de sa source initiale, et bien ce photon voyageant peut alors rencontrer d’autres photons issus de sources différentes. Que donne la rencontre entre 2 photons ? Et bien nous n’en savons strictement rien, car un photon n’a théoriquement pas de masse, et on ne sait pas vraiment ce qu’est cette notion de photon, même si on peut donner des caractéristique de fréquence ou autre à ce photon. On dit que c’est une notion d’énergie, et qu’il est même une onde électromagnétique, mais est-ce vrai ? D’ailleurs onde-photon, et ce même de nos jours, nous ne savons strictement pas ce que c’est. Les ondes sonores comme les ondes de vagues d’eau sont sans rapport avec le photon, car les ondes sonores et celles de l’eau s’atténue, et ces ondes sont une propagation de communication entre molécules ou atomes, car chaque atome ou molécule va transmettre à d’autre le mouvement, mais en transmettant son énergie de mouvement, celui-ci perd alors son énergie de mouvement. Ces ondes de vibrations sont sans rapport avec les photons, car chaque entité transmet à d’autres entités une énergie de mouvement, ce qui veut dire aussi que ces entités restent plus ou moins sur place sans suivre la propagation. Ces types d’onde sont donc des ondes par transmission de mouvement, et le photon, lui est seul et ne transmet strictement rien, et ne peut rester immobile.

— -Un photon ne se voit que dans sa longitude que lorsqu’il qu’il frappe une matière ou une particule et même celle de nos yeux, et d’ailleurs heureusement que ce photon n’a pas de masse, sinon nos yeux seraient endommagés, et donc la détection et vision du photon ne peut pas se faire transversalement à son parcours. Détecter les photons transversalement est impossible, et nous supposons seulement son parcours et la façon dont il vibre, sans savoir vraiment comment il vibre. Une entité sans masse et qui vibre c’est quoi au juste ??

— -Autre citation : : "(...) Si deux rayons de lumière sont initialement parallèles, ils peuvent se rencontrer, s’ils passent tous les deux près d’une étoile. Ils sont recourbés l’un vers l’autre. Par conséquent, la géométrie euclidienne (où les droites parallèles ne se rencontrent jamais) n’est pas adaptée au monde réel."
La géométrie euclidienne est une réalité, tant disque les géométries complexes imaginées n’existent simplement pas, car les hommes inventent n’importe quoi quand il ne comprennent pas. La courbure des rayonnements lumineux proche de masses importantes peut être vu comme autre cause que celle donnée. Déjà le simple problème de dire et parler de parallélisme entre 2 photons est non raisonnable, car si la source est la même, il ne peut y avoir de parallèle, car plus les rayonnements lumineux avancent dans le temps et donc en distance, et normalement plus ils s’écartent l’un de l’autre. Si 2 photons très proche l’un de l’autre de la source émettrice sont émis en même temps, à une distance la plus courte comme celle de Planck, et bien ils s’écarteront l’un de l’autre en avançant, car le contenue de l’espace n’est pas matricé comme dans la théorie des boucles. Ils suffit pour cela de voir la lumière très lointaine venant d’objets vu encore dans leur passé pour dire que plus la distance est grange et moins les photons arrivent sur une même zone de réception. Même dans ce raisonnement disant que les photons sont courbés, on ne voit pas pourquoi ils se rencontreraient, car la déformation de leur parcours suit les même règles l’un que l’autre, et la réunion de 2 photons ne veut rien dire.
Autre phrase de citation "Un autre aspect de l’indépendance par rapport au fond est qu’il n’existe pas de temps privilégié.". Et bien si il existe un temps privilégié qui est celui dont parle M.Einstein qui est celui de la physique. Mais ce temps nous est inaccessible, car on ne peut se mettre dans de telles conditions. Le contenu de l’espace à très grande échelle n’est pas celui proche des particules de matière. Même les galaxies les plus lointaines émettant de la lumière, et celle-ci traverse l’espace sans rencontrer la moindre matière tant l’espace est grand et où la matière est si peu abondante. Même les particules virtuelles du quantique ne font pas partir de cet espace sans matière, car ma conviction est que ces particules éphémères sont proche des particules de matière dites réelles, comme si ces particules étaient en symbiose avec celle de la matière Donc le virtuel ne rempli "PAS TOUT" l’espace, mais se situe où se trouve la matière... On pourrait même dire que ces particules virtuelles sont des résidus ne pouvant s’agglomérer et stationnent où se trouve la matière, et où encore des échanges se font entre ces 2 types de particules, sans que ces particules virtuelles puissent entrer dans notre réalité. On peut encore le dire autrement, disant que les particules élémentaires formant l’atome, ne sont constituées que de champs (pour parler quantique) et qu’un champ élaboré par la nature, est une notion calibrée où il ne peut y avoir plus d’éléments supplémentaires dans ce champ, un peu comme si la nature donnait des limites de construction à ces champs de matière, et où un certains nombre de champs différents s’attirent et se repoussent mais constituent à eux un ensemble que nous appelons l’atome. L’électron n’est pas un corpuscule, et n’est pas plus une onde qui serait une absurdité de définition, car l’onde se propage, et cette onde d’électron serait stationnaire, ce qui ne veut rien dire. Donc pour moi l’électron est un champ non vraiment comme le considère la mécanique quantique, car la constitution de ce champ pour l’électron ne sont pas des points ponctuels, mais de réels éléments inconnus, qui peuvent etre ceux de ces particules virtuels, dont le surplus n’est pas pris en compte, mais évoluent où se trouve la matière.

— -Autre phrase "La relativité générale décrit l’histoire du monde au niveau fondamental en termes d’événements et de relations entre eux. Les relations les plus importantes concernent la causalité : : un événement peut se trouver dans la chaîne causale qui mène à un autre événement. (...) Ce sont lesdits événements qui constituent l’espace. (...) Toute définition concrète de l’espace dépend du temps." Le temps est une notion dépendant de l’Éther de l’espace de M.Einstein, et n’est cause de rien, car dans ce qui est dit on inverse les rôles. Le temps est associé à l’Éther de l’espace, mais ce temps ne génère rien, et n’est pas créateur d’espace ou modificateur de l’espace. Comme on sait pas mettre la moindre donnée sur cet Éther, et bien on inverse les rôles en disant que c’est le temps qui donne la cadence à l’espace, car rien ne dépend du temps qui est une notion ou autre, mais ne définit strictement rien. A l’heure actuelle on veut tout conceptualiser en tant qu’objet, ce qui est une erreur sauf en C++. L’espace par exemple n’est pas un objet physique, car est infini, et ne possède que 3 axes, ne définissant même pas un volume réel car infini. Cet espace n’a pas de géométrie, et n’est pas modifiable ou orientable, cet espace n’est pas une création, mais un simple contenant sans attribut, et comme on le dit souvent avec cette notion de courbure de l’espace, qui ne veut rien dire, et bien l’espace ne se courbe en rien. Qu’il y ait quelque ou non dans cet espace, celui-ci ne répond pas de son contenu... Que la bouteille soit vide ou pleine, la bouteille s’en moque, et bien sur il faut considérer que cette bouteille soit très loin de toutes autres particules et dans le vide où l’on supposerait qu’il n’y à rien. Mais cette image est forcément fausse...

— -Encore une phrase pour la route : : " Il existe autant de définitions de l’espace que de temporalités différentes. (...) La question fondamentale pour la théorie quantique de la gravitation est, par conséquent, celle-ci : : peut-on étendre à la théorie quantique le principe selon lequel l’espace n’a pas de géométrie fixe ? C’est-à-dire peut-on faire une théorie quantique indépendante du fond, au moins en ce qui concerne la géométrie de l’espace ?". Il est une certitude que la géométrie de l’Éther de l’espace (et non de l’espace) n’est pas une géométrie fixe, car à cette échelle tout est réduit mais le temps est lui aussi réduit, ce qui veut dire que tout va très vite, et que particules dites "réelles" comme celles dites "virtuelles", modifient constamment l’environnement où elles sont, et par raisonnement simpliste, la géométrie dont on parle est en chamboulement constant, sans pouvoir définir une géométrie quelconque.

— -Toujours des phrases de citation : : "(...) En 1916, Einstein avait déjà compris qu’il existait des ondes gravitationnelles et qu’elles portaient une énergie. Il a tout de suite remarqué que la condition de cohérence avec la physique atomique demande que l’énergie portée par les ondes gravitationnelles soit décrite en termes de la théorie quantique". Sait-on de nos jours ce qu’est une onde gravitationnelles ? Et bien non, et pourtant on essai de les détecter par des astuces sur des dispositifs de quelques kilomètre, et cela est assez fou, que ces scientifiques essaient de coincer des choses, et qu’ils ne savent pas ce que sont ces choses. C’est assez fou, pour ne pas dire cinglé, car on essai de coincer des choses, sans savoir ce que sont ces choses... Là encore l’énergie des ondes gravitationnelles tombe du ciel...

— -A voilà enfin une une phrase qu’elle est bien belle et bien : : "La première découverte est, essentiellement, que même les idées qui ont été acceptées pendant un temps très long et qui ont été vérifiées très précisément peuvent être fausses." Et encore une autre phrase du même type bien : : "Mais néanmoins nous avons maintenant un point de vue beaucoup plus humble de nos lois physiques – tout peut être faux !" Je ne sais pas qui écrit cela dans l’article, mais c’est tout à vrai, car même si depuis d’un siècle nous n’avons rien compris aux relativités de M.Einstein, il n’est même pas sûr que si on comprenait cet individu de Einstein, que cela soit une vérité pour autant. La vérité est sans fin, car rien n’est borné.

Bonne nuit vu l’heure du message.
JFP/Jean-François POULIQUEN.

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