Le gouvernement affiche haut et fort les mesures qu’il prend « contre la radicalisation ». Au début, le grand public croyait que c’était un synonyme de lutte contre le terrorisme, le radicalisme étant celui de l’intégrisme religieux violent. Mais il s’avère depuis que le radicalisme que les gouvernants traitent est celui des plus démunis et pas le terrorisme ! Les révoltes des quartiers de banlieue, celles de la jeunesse, et surtout le mouvement des gilets jaunes ont bien montré que la radicalisation que craint le gouvernement et que souhaitent combattre les classes possédantes, c’est la radicalisation sociale !
Le gouvernement affiche haut et fort les mesures qu’il prend « contre la radicalisation ». Au début, le grand public croyait que c’était un synonyme de lutte contre le terrorisme, le radicalisme étant celui de l’intégrisme religieux violent. Mais il s’avère depuis que le radicalisme que les gouvernants traitent est celui des plus démunis et pas le terrorisme ! Les révoltes des quartiers de banlieue, celles de la jeunesse, et surtout le mouvement des gilets jaunes ont bien montré que la radicalisation que craint le gouvernement et que souhaitent combattre les classes possédantes, c’est la radicalisation sociale !