"Les personnels sont en arrêt parce qu’ils veulent se protéger. Psychologiquement, ils sont détruits", alerte sur Europe 1 Christophe Prudhomme, porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France. "Les conditions de travail, quand on sait que les patients sont potentiellement en danger, [mettent le personnel dans] un stress permanent."
"Les personnels sont en arrêt parce qu’ils veulent se protéger. Psychologiquement, ils sont détruits", alerte sur Europe 1 Christophe Prudhomme, porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France. "Les conditions de travail, quand on sait que les patients sont potentiellement en danger, [mettent le personnel dans] un stress permanent."