Où mène le militantisme "climatique" pour "sauver la planète" ?
6 octobre 2019, 03:49
François Gervais relève que la combustion des ressources fossiles a entraîné une augmentation du taux de CO2 dans l’air de 0,03 % à 0,04 % en volume, c’est-à-dire que, « parmi 10 000 molécules d’air sec, on compte à peu près 7808 molécules d’azote, 2096 molécules d’oxygène, 92 atomes d’argon, gaz qualifié de rare, et seulement 4 molécules de gaz carbonique. » Le fait de passer de 3 à 4 molécules de CO2, une molécule supplémentaire parmi 10 000 molécules d’air sec ou 10 500 molécules d’air humide justifie-t-il un tel émoi ?
Outre que l’effet prétendument néfaste de cette molécule supplémentaire est indiscernable, François Gervais rappelle que le carbone n’est nullement un polluant, bien au contraire. Il est irremplaçable pour notre organisme, indispensable pour la faune et pour la flore. Lutter contre ce fertilisant gratuit pour la végétation et la chaîne marine se ferait au détriment des 70 % de la population mondiale qui vivent dans des zones rurales ou côtières.
François Gervais relève que la combustion des ressources fossiles a entraîné une augmentation du taux de CO2 dans l’air de 0,03 % à 0,04 % en volume, c’est-à-dire que, « parmi 10 000 molécules d’air sec, on compte à peu près 7808 molécules d’azote, 2096 molécules d’oxygène, 92 atomes d’argon, gaz qualifié de rare, et seulement 4 molécules de gaz carbonique. » Le fait de passer de 3 à 4 molécules de CO2, une molécule supplémentaire parmi 10 000 molécules d’air sec ou 10 500 molécules d’air humide justifie-t-il un tel émoi ?
Outre que l’effet prétendument néfaste de cette molécule supplémentaire est indiscernable, François Gervais rappelle que le carbone n’est nullement un polluant, bien au contraire. Il est irremplaçable pour notre organisme, indispensable pour la faune et pour la flore. Lutter contre ce fertilisant gratuit pour la végétation et la chaîne marine se ferait au détriment des 70 % de la population mondiale qui vivent dans des zones rurales ou côtières.