En Irak, la contestation se poursuit... En un mois de manifestations, plus de 250 personnes sont mortes.
De nouvelles violences ont opposé dans la nuit de vendredi 1 à samedi 2 novembre les forces de l’ordre aux manifestants, qui continuent d’occuper sans interruption la place Tahrir de Bagdad pour réclamer « la chute du régime » irakien, en dépit des promesses de réformes des autorités.
Une personne a été tuée et des dizaines ont été blessées dans les violences de la nuit, qui se sont déroulées comme les jours précédents sur deux ponts de la capitale proches de Tahrir : al-Joumhouriya qui mène à l’intérieur de la « zone verte », siège du pouvoir, et Senek, qui la borde, ont indiqué des sources médicales à l’AFP.
Les manifestants sur la place Tahrir : "il ne faut surtout pas qu’on perde tout en acceptant « les fausses réformes » proposées par le pouvoir."
En Irak, la contestation se poursuit... En un mois de manifestations, plus de 250 personnes sont mortes.
De nouvelles violences ont opposé dans la nuit de vendredi 1 à samedi 2 novembre les forces de l’ordre aux manifestants, qui continuent d’occuper sans interruption la place Tahrir de Bagdad pour réclamer « la chute du régime » irakien, en dépit des promesses de réformes des autorités.
Une personne a été tuée et des dizaines ont été blessées dans les violences de la nuit, qui se sont déroulées comme les jours précédents sur deux ponts de la capitale proches de Tahrir : al-Joumhouriya qui mène à l’intérieur de la « zone verte », siège du pouvoir, et Senek, qui la borde, ont indiqué des sources médicales à l’AFP.
Les manifestants sur la place Tahrir : "il ne faut surtout pas qu’on perde tout en acceptant « les fausses réformes » proposées par le pouvoir."