En Irak, le mouvement de colère qui secoue le pays a une nouvelle fois été réprimé dans le sang, comme cela a été le cas à plusieurs reprises depuis le début de la semaine. Les tirs à balles réelles des forces de l’ordre ont fait six morts jeudi à Bagdad et quatre à Bassorah, dans le Sud de l’Irak, lors de nouveaux rassemblements antigouvernementaux, a-t-on appris de sources policières et médicales. Les forces de l’ordre ont également tiré à balles réelles pour disperser des manifestants rassemblés aux abords d’un bâtiment administratif local, a-t-on ajouté de sources policières. L’Irak est secoué depuis plus d’un mois par un vaste mouvement contre la corruption, la pénurie d’emplois et les conditions de vie, dont la répression a fait plus de 260 morts. Les manifestants réclament le départ de la totalité de la classe politique et dénoncent la corruption, la misère, les grandes fortunes, le pouvoir au service des profiteurs…
En Irak, le mouvement de colère qui secoue le pays a une nouvelle fois été réprimé dans le sang, comme cela a été le cas à plusieurs reprises depuis le début de la semaine. Les tirs à balles réelles des forces de l’ordre ont fait six morts jeudi à Bagdad et quatre à Bassorah, dans le Sud de l’Irak, lors de nouveaux rassemblements antigouvernementaux, a-t-on appris de sources policières et médicales. Les forces de l’ordre ont également tiré à balles réelles pour disperser des manifestants rassemblés aux abords d’un bâtiment administratif local, a-t-on ajouté de sources policières. L’Irak est secoué depuis plus d’un mois par un vaste mouvement contre la corruption, la pénurie d’emplois et les conditions de vie, dont la répression a fait plus de 260 morts. Les manifestants réclament le départ de la totalité de la classe politique et dénoncent la corruption, la misère, les grandes fortunes, le pouvoir au service des profiteurs…