Grèves réformistes ou action révolutionnaire, il faut choisir
31 décembre 2019, 07:30, par Florent
Même le pseudo radicalisme syndical, bien plus radical que CGT-SUD-CNT mais refusant la véritable lutte des classes (action interprofessionnelle, dépassant toutes les barrières légales, refusant toutes les divisions des exploités, menant l’action directe auto-organisée), ne peut dépasser le stade de faire reculer un pouvoir capitaliste décidé d’en découdre par la lutte des classes. Les grèves des mineurs britanniques en 1984 n’ont pas réussi à faire plier le gouvernement Thatcher et pourtant elles ont été intenses et ont duré plus d’un an.
Même le pseudo radicalisme syndical, bien plus radical que CGT-SUD-CNT mais refusant la véritable lutte des classes (action interprofessionnelle, dépassant toutes les barrières légales, refusant toutes les divisions des exploités, menant l’action directe auto-organisée), ne peut dépasser le stade de faire reculer un pouvoir capitaliste décidé d’en découdre par la lutte des classes. Les grèves des mineurs britanniques en 1984 n’ont pas réussi à faire plier le gouvernement Thatcher et pourtant elles ont été intenses et ont duré plus d’un an.