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Qu’est-ce que la pensée réductionniste et quel problème pose-t-elle ?

8 janvier 2020, 18:57, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦08012020¦¦Notre petite touche sur cette notion de pensée réductionnisme que nous ne connaissions pas ¦¦
▬Vous¦¦[Dans chacune de ces démarches, on suppose qu’en connaissant les éléments dits « de base », on saura comment fonctionne le niveau plus global et on pourra agir dessus.]
▬Nous¦¦Cette remarque est pour nous absolument fausse, car les scientifiques pensent savoir ce qu’est l’électron comme encore ces quarks formant protons et neutrons, mais ils ne savent absolument pas pourquoi un atome utilise ces quantités d’éléments, et pourquoi ces mêmes atomes sont stables pour une matière donnée où le nombre de ces atomes s’assemblent pour en donner une homogénéité d’un certain type de matière donnée, et donc pourquoi cette structure est stable. Sans même parler de molécules qui sont des assemblages d’atomes différents, mais qui en multipliant ces molécules nous donne une certaine structure de matière, voici des interrogations et des réflexions ¦¦ Si nous prenons par exemple un atome A1 pouvant être accepté par un autre atome A2 de noyaux de type différent, et que cette ensemble ne forme pas une molécule, et se répète pour donner un nouveau type de matière inconnue, pourquoi cette organisation ne se retrouve pas dans la nature Ɂ Pour le dire autrement pourquoi dans la nature nous ne retrouvons pas des matières issues d’assemblages d’atomes différentes qui ne correspondent pas des molécules. La molécule est un assemblage stable d’atomes différents, et qui se répète pour donner un type de matière, mais savons nous pourquoi cette molécule est stable Ɂ Et bien pas du tout, malgré que nous savons ce qu’est tel type d’atome ou tel autre type d’atome entrant dans dans la conception de la molécule. Ce n’est pas parce que nous connaissons des entités de bas niveau, que nous pouvons définir des comportements de plus haut niveau. Ceci reste le mystère de la nature, mais nous pensons que tel atome, et même qu’un proton, à un comportement différent par rapport à un autre proton placé dans un même noyau atomique. Le proton et le neutron sont des bases pour former des noyaux plus complexes que l’hydrogène où il n’y a qu’un seul proton et qu’un seul électron. Le simple fait de mettre deux protons ensemble, ces mêmes protons auront des comportement différents suivant leur cousins proches. Donc le 1+1 n’est pas égal à deux, et donc deux individus donnent des résultats de comportements différentes quand ils sont séparés ou quand ils sont regroupés. Ce n’est ni la somme de ces masses, ni la somme des charges qui changent qui font changer quoi que ce soit, mais le comportement de chaque individu que l’on ne voit pas quand ces individus sont regroupés. Il y a donc une organisation ou une géométrie interne du proton ou du neutron qui change quand des individus sont regroupés. Ceci est tellement vrai que le neutron isolé n’est pas stable car il n’a que quelques minutes de durée de vie avant qu’il ne se désintègre en autre chose, mais si il est confiné dans le noyau atomique, ce même neutron change d’organisation ou de géométrie, et naturellement devient stable, sans pour autant savoir pourquoi. Si cela était si simple, la chimie serait alors simple, mais justement la chimie est très compliquée, car les nombres d’individus font changer les comportements que l’on ne voit pas de ces individus. Il ne faut donc plus raisonner en nombres mais en comportements, et c’est ce que nous ne savons pas faire, malgré pensant connaître les éléments bases. Pour le redire encore, les bases ne nous aident pas à définir des comportements. Toutes ces particules éphémères ressortant lors de chocs entre particule stables, ne sont pas vraiment de vraies particules, mais un état de regroupement temporaires qui se désintègrent. Donc de recenser ces résidus d’agglomération de farine de particules n’a que peut d’intérêt, pour essayer de comprendre ce que peut être la matière. Toute cette panoplie de particules éphémères ne rentrent pas dans la matière. C’est comme si on collisionnait des tas de sables calibrés que fabrique la nature, et bien ces collisions redonnerait d’autres tas de sable toujours aussi calibrés et des résidus de tas de sable non calibrés et instables que sont ces particules éphémères instables. La vraie question, est pourquoi la nature calibre des tas de sable qui sont stables et naturellement rejette des tas de sable non stables. Nous allons faire des pâtés comme les enfants, mais cette fois nous allons compter les grains de sable...
▬Vous¦¦[C’est faire comme si plusieurs affirmations douteuses étaient des évidences :]
▬Vous¦¦[1°) le tout est la somme des parties.]
▬Nous¦¦C’est une vérité que la somme des parties soit un tout, mais le problème est que cette somme se structure différemment, et donne des comportements différents. Même les masses que l’on croit additionner, se transforment pour être toujours des masses mais elles deviennent plus volatiles car l’on ne sait pas tester le mouvement de ces masses. De dire que ces masses volatiles sont de l’énergie est une façon de tricher avec la réalité, car un ensemble ayant un mouvement désordonné pèse moins lourd que des éléments pratiquement sans mouvement ou c’est l’inverse. Ce que l’on teste en masse plus on se rapproche des éléments constituant un ensemble, ce n’est plus une vraie masse stable mais une masse en mouvement. Et naturellement plus on s’éloigne de ces éléments constituant l’ensemble et plus la masse devient vraie, car les micro-mouvements sont inclus dans l’ensemble. En fait on ne sait pas tester la réalité en mouvement.
▬Vous¦¦[7°) on suppose enfin que l’on ne perd aucune information au saut d’échelle et qu’on n’en introduit aucune.]
▬Nous¦¦Bien sûr que cela est faux, car plus on s’approche de particules élémentaires et plus on perturbe le système, car les outils de mesure ont une influence sur ce que l’on veut tester, et pour ce faire il faudrait que les instruments de mesure soient éloignés e ce que l’on mesure, mais la réalité est que l’on teste même pas ces particules élémentaires, mais seulement les traces sur des instruments de mesures qui changent ce que l’on veut tester. Pour éviter les masses des instruments faussant les mesures, il faudrait utiliser des photons permettant d’autres types de tests.
▬Vous¦¦[la synthèse est considérée comme une somme sans modification des éléments]
▬Nous¦¦Bien sûr que les synthèses sont fausses car les instruments de mesure faussent les tests, et donc analyser des résultats faux ne peut que donner des synthèses fausses. A ce niveau d’échelle de rapprochement de la matière et des particules élémentaires, nous ne voyons que l’utilisation de photons, ne sachant pas si cela existe déjà, car les photons sont neutres en charge et sont soient disant sans masse, et comme ces photons ont des portées très grandes, cela devrait être un moyen de mesure sur particules élémentaires. Si on sait maintenant émettre des photons un par un, ce qui est un exploit, nous ne savons pas si nous pouvons compter des photons par grande quantité. Un faisceau lumineux pointant sur un quark par exemple devrait traverser ce quark et du coté opposé de la direction du faisceau on devrait recueillir une partie des photons émis, mais ceci est facile à dire sur papier, car on ne sait pas isolé un quark, car il s’obtient par des traces lié à des collision de protons. Il n’est même pas obligé d’être de l’autre coté du faisceau pour recueillir des informations, car la réflexion devrait une possibilité. Nous émettons des idées sans savoir si cela est réalisable, mais nous tirons notre chapeau à ces ingénieurs et techniciens qui fabriquent ces instruments de mesure, car la vraie physique ce sont eux qui la détienne.
▬Nous¦¦Nous ne voulons rien réduire, mais la façon dont on parle de cet infiniment petit, est assez curieux, car nous avons seulement une autre approche de ce qui se passe très près de ces particules élémentaires, car déjà nous les considérons comme des tas de farine calibrés par la nature, et donc que ces particules élémentaire n’en sont pas car constituées par autre chose qui est une autre base, ne sachant pas si cet autre autre chose ou base est elle-même constituée par encore autre chose. Si ces particules élémentaires comme les quarks étaient d’un seul bloc, cela voudrait que le CONTINU existe car ces éléments serait sans grain, et nous ne croyons absolument pas à ce CONTINU des quarks comme à ceux des électrons, comme à toutes les particules élémentaires durables ou éphémères d’ailleurs. C’est une philosophie qui nous permet de comprendre certaines choses et certaines expériences. Nous ne savons pas si le CONTINU peut exister, car tout ce décompose systématiquement, même les neutrinos, comme la lumière d’ailleurs. De dire que le proton ou le neutron est formé de 3 quarks, est pour nous une erreur, car si cela est vrai c’est seulement dans certaines conditions d’expérience que sont ces accélérateurs et collisionneurs de particule où l’on isole ces protons et ces neutrons, et où ces derniers sont TOUJOURS les mêmes sans influence par d’autres protons et neutrons. Faire collisionner des atomes d’hydrogène n’aurait pas plus de sens, car ce qu’il faut pour comprendre cette mécanique incompréhensive c’est de faire collisionner des noyaux ayant minimum 2 protons, et on s’apercevrait alors et sans doute que le nombre de quarks pour ces mêmes protons à changé... Ce n’est pas en testant des milliards de collisions avec les mêmes protons isolés que l’on peut déduire quoi que ce soit... Toute cette mécanique dit de Chromodynamique quantique c’est construite sur les résultats des collisionneurs de particules ayant trouvé 3 quarks, mais les conditions de ces collisions sont toujours les mêmes.
▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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