En Chine, ce qui commence, ce n’est pas seulement la catastrophe du coronavirus mais aussi le soulèvement populaire contre le régime de dictature faussement intitulée communiste
14 février 2020, 13:17, par Ephraïm
« ... le médecin chinois Li Wenliang, 34 ans, a mis en garde ses contacts officiels dès le 30 décembre sur une potentielle épidémie à venir. Mais les autorités chinoises l’ont accusé de propager des fausses rumeurs nuisibles aux intérêts nationaux et à l’économie chinoise, voire mondiale.
« Cet ophtalmologue travaillait à l’hôpital de Wuhan ! Il précisait ensuite, dans un second texte, que le virus n’est pas le Sras mais un nouveau type de coronavirus.
« Le 3 janvier, la police convoque à son tour l’ophtalmologue : elle l’accuse d’avoir « répandu des rumeurs en ligne » et « perturbé gravement l’ordre social ». Le trentenaire doit signer une déclaration dans laquelle il reconnaît son « délit » et promet « de ne plus commettre d’actes illégaux ».
« Li Wenliang reprend son travail à l’hôpital de Wuhan. « Je ne pouvais rien faire, tout doit respecter la ligne officielle », explique-t-il à CNN. Mais l’épidémie prend de l’ampleur. Un premier patient décède le 11 janvier. »
C’est impressionnant comment les mises en gardes ou les idées venant d’individus sont si vite étouffés !
« ... le médecin chinois Li Wenliang, 34 ans, a mis en garde ses contacts officiels dès le 30 décembre sur une potentielle épidémie à venir. Mais les autorités chinoises l’ont accusé de propager des fausses rumeurs nuisibles aux intérêts nationaux et à l’économie chinoise, voire mondiale.
« Cet ophtalmologue travaillait à l’hôpital de Wuhan ! Il précisait ensuite, dans un second texte, que le virus n’est pas le Sras mais un nouveau type de coronavirus.
« Le 3 janvier, la police convoque à son tour l’ophtalmologue : elle l’accuse d’avoir « répandu des rumeurs en ligne » et « perturbé gravement l’ordre social ». Le trentenaire doit signer une déclaration dans laquelle il reconnaît son « délit » et promet « de ne plus commettre d’actes illégaux ».
« Li Wenliang reprend son travail à l’hôpital de Wuhan. « Je ne pouvais rien faire, tout doit respecter la ligne officielle », explique-t-il à CNN. Mais l’épidémie prend de l’ampleur. Un premier patient décède le 11 janvier. »
C’est impressionnant comment les mises en gardes ou les idées venant d’individus sont si vite étouffés !