Si vous raccrocher la réduction du paquet d’ondes à une mesure , c’est différend !... , il ne s’agit plus (comme je l’avais compris dans vos propos) d’une suite de disparitions/réapparitions de la particule dans son histoire avant la mesure .
Avant la fente de diffraction, ma molécule de fullerène (toujours elle !) a une trajectoire fortement tourmentée constituée par des segments très brefs dont on peut apprécier une moyenne dans une chambre à bulles si l’on a chargé notre particule ... chaque segment est lié à un déphasage de l’onde interactive avec le milieu subquantique (ou vide). Au passage de la fente, l’onde moyenne, qui a diffracté, devient une onde de diffusion, elle "propose" à la particule une multitude de directions dont une seule sera retenue , ce qui correspond à une réduction du "paquet d’onde secondaires"
Ce que dit Bohm est que dans tout cela, la particule a gardé son intégrité, il n’est pas nécessaire d’envisager sa disparition, ne serait-ce que pour une durée infiniment faible ; la raison est que l’amplitude des fluctuations du vide conduisent à une énergie énormément plus faibles que celle de la cohésion (énergie interne) de la particule de Fullerène ( j’avais calculé 10 puissance -26 pour le rapport)
Il n’en serait pas de même pour une particule où l’énergie de cohésion serait comparable à celle du vide (fluctuation quantiques) ..., dans ce cas, je m’accorde avec ce que vous dites .
Pour ce qui est de l’influence de la mesure , votre analyse sur la réduction (totale) du paquet d’onde présente un intérêt pédagogique , comme d’ailleurs pour beaucoup de sujets que vous avez analysés et très bien illustré , j’espère qu’un grand nombre de lecteurs vous en sont reconnaissants ...
Si vous raccrocher la réduction du paquet d’ondes à une mesure , c’est différend !... , il ne s’agit plus (comme je l’avais compris dans vos propos) d’une suite de disparitions/réapparitions de la particule dans son histoire avant la mesure .
Avant la fente de diffraction, ma molécule de fullerène (toujours elle !) a une trajectoire fortement tourmentée constituée par des segments très brefs dont on peut apprécier une moyenne dans une chambre à bulles si l’on a chargé notre particule ... chaque segment est lié à un déphasage de l’onde interactive avec le milieu subquantique (ou vide). Au passage de la fente, l’onde moyenne, qui a diffracté, devient une onde de diffusion, elle "propose" à la particule une multitude de directions dont une seule sera retenue , ce qui correspond à une réduction du "paquet d’onde secondaires"
Ce que dit Bohm est que dans tout cela, la particule a gardé son intégrité, il n’est pas nécessaire d’envisager sa disparition, ne serait-ce que pour une durée infiniment faible ; la raison est que l’amplitude des fluctuations du vide conduisent à une énergie énormément plus faibles que celle de la cohésion (énergie interne) de la particule de Fullerène ( j’avais calculé 10 puissance -26 pour le rapport)
Il n’en serait pas de même pour une particule où l’énergie de cohésion serait comparable à celle du vide (fluctuation quantiques) ..., dans ce cas, je m’accorde avec ce que vous dites .
Pour ce qui est de l’influence de la mesure , votre analyse sur la réduction (totale) du paquet d’onde présente un intérêt pédagogique , comme d’ailleurs pour beaucoup de sujets que vous avez analysés et très bien illustré , j’espère qu’un grand nombre de lecteurs vous en sont reconnaissants ...