Echos de l’hôpital public, première victime des politiques gouvernementales face à la pandémie
2 juillet 2020, 08:19, par Laurence
Un décret pris sous prétexte d’état d’urgence a permis pendant le pic du covid l’accès au Rivotril, puissant sédatif afin soit disant de prendre en charge les malades en Ephad. C’est un recours masqué à l euthanasie. Il masque le fait que l’hôpital ne s’était pas donné les moyens d’accepter autant de malades et laissait mourir systématiquement pour ne pas être débordé. Notamment, il refusait l’accès aux malades des EPHAD trop atteints, les laissant mourir. Le décret permet aussi aux généralistes de se fournir en pharmacie de ville en Rivotril sous forme injectable.
La dépendance dans les actes de la vie a été un élément majeur de refus en réanimation.
Un décret pris sous prétexte d’état d’urgence a permis pendant le pic du covid l’accès au Rivotril, puissant sédatif afin soit disant de prendre en charge les malades en Ephad. C’est un recours masqué à l euthanasie. Il masque le fait que l’hôpital ne s’était pas donné les moyens d’accepter autant de malades et laissait mourir systématiquement pour ne pas être débordé. Notamment, il refusait l’accès aux malades des EPHAD trop atteints, les laissant mourir. Le décret permet aussi aux généralistes de se fournir en pharmacie de ville en Rivotril sous forme injectable.
La dépendance dans les actes de la vie a été un élément majeur de refus en réanimation.