Des échos des travailleurs de Renault sous la menace du couperet
28 mai 2020, 12:06, par Max
L’Espagne annonce que Nissan va fermer son usine de Barcelone
Le constructeur automobile japonais Nissan a décidé de fermer son usine de Barcelone, ce qui représenterait environ 3.000 pertes d’emploi, dans le cadre de son nouveau plan de restructuration mondial, a annoncé jeudi le gouvernement espagnol.
L’usine principale de Nissan à Barcelone compte environ 2.400 salariés et l’effectif total, en incluant plusieurs établissements associés, s’élève à environ 3.000 personnes.
L’usine barcelonaise, deuxième site européen de Nissan derrière celui situé en Grande-Bretagne, produit principalement un fourgon électrique et des camionnettes.
Nissan doit annoncer ce jeudi un plan d’économies drastique et Renault lui emboîtera le pas vendredi.
A part ça l’extrème gauche syndicaliste propose de partager le travail ...mais ne voit pas comme la CGT , le tsunami des licenciements à l’échelle mondiale. On pourra se partager le chômage partiel mais pas pour très longtemps encore. Et si on partageait les luttes auto organisées dans des comités de grève qui se joindraient à ceux des gilets jaunes ? Interdiction de tous les licenciements partout en France, en Europe , en Amériques et en Asie. Réquisitions par les comités de grèvistes des entreprises qui licencient.
L’Espagne annonce que Nissan va fermer son usine de Barcelone
Le constructeur automobile japonais Nissan a décidé de fermer son usine de Barcelone, ce qui représenterait environ 3.000 pertes d’emploi, dans le cadre de son nouveau plan de restructuration mondial, a annoncé jeudi le gouvernement espagnol.
L’usine principale de Nissan à Barcelone compte environ 2.400 salariés et l’effectif total, en incluant plusieurs établissements associés, s’élève à environ 3.000 personnes.
L’usine barcelonaise, deuxième site européen de Nissan derrière celui situé en Grande-Bretagne, produit principalement un fourgon électrique et des camionnettes.
Nissan doit annoncer ce jeudi un plan d’économies drastique et Renault lui emboîtera le pas vendredi.
A part ça l’extrème gauche syndicaliste propose de partager le travail ...mais ne voit pas comme la CGT , le tsunami des licenciements à l’échelle mondiale. On pourra se partager le chômage partiel mais pas pour très longtemps encore. Et si on partageait les luttes auto organisées dans des comités de grève qui se joindraient à ceux des gilets jaunes ? Interdiction de tous les licenciements partout en France, en Europe , en Amériques et en Asie. Réquisitions par les comités de grèvistes des entreprises qui licencient.