Si je vous parle du cable co-axial à courant continu c’est qu’ il s’agit d’un composant de transport simple geometriquement mais d’avenir notamment pour rapatrier les énergies d’origine éolienne marine ( Allemagne, Norvège, Danemark, France bientot ...) qui sont éloignées de plus de 40km de la côte. Pour diminuer les pertes on monte en tension : aujourd’hui 300 à 400 kV...A ce niveau de tension , on sait que le diélectrique ( aujourd’hui du PER ( Polyéthylène réticulé)) est soumis à de fortes contraintes et sa fiabilité est le problème crucial.
Donc des études diélectriques sont faites sur le PER. Ces travaux utilisent des moyens "classiques"( mesures de rigidité, pertes diélectriques, conduction ..). Un phénomène particulier le claquage ( perte de rigidité ) étonne par son caractère aléatoire : on a pu mettre en évidence depuis quelques années des paramètres importants comme les charges d’espace dues à des défauts internes ou à des injections de charges dans le diélectrique.
Vous pouvez donc mieux comprendre que le diélectricien que je suis s’intéresse aux éventuelles avancées théoriques de notre époque sur le vide !
Si je vous parle du cable co-axial à courant continu c’est qu’ il s’agit d’un composant de transport simple geometriquement mais d’avenir notamment pour rapatrier les énergies d’origine éolienne marine ( Allemagne, Norvège, Danemark, France bientot ...) qui sont éloignées de plus de 40km de la côte. Pour diminuer les pertes on monte en tension : aujourd’hui 300 à 400 kV...A ce niveau de tension , on sait que le diélectrique ( aujourd’hui du PER ( Polyéthylène réticulé)) est soumis à de fortes contraintes et sa fiabilité est le problème crucial.
Donc des études diélectriques sont faites sur le PER. Ces travaux utilisent des moyens "classiques"( mesures de rigidité, pertes diélectriques, conduction ..). Un phénomène particulier le claquage ( perte de rigidité ) étonne par son caractère aléatoire : on a pu mettre en évidence depuis quelques années des paramètres importants comme les charges d’espace dues à des défauts internes ou à des injections de charges dans le diélectrique.
Vous pouvez donc mieux comprendre que le diélectricien que je suis s’intéresse aux éventuelles avancées théoriques de notre époque sur le vide !
Cordialement
Alain T.