En Inde, la dictature capitaliste se durcit violemment
1er novembre 2020, 13:15, par abasladictaturebourgeoise
« Plusieurs clauses surprenantes du Code créent effectivement un régime juridique où les grèves sont impossibles et où les travailleurs ne seront plus libres d’organiser ou même de participer à des grèves pacifiques. Ils seront pénalisés s’ils le font et les amendes imposées serviront à financer la sécurité sociale ».
Selon diverses agences gouvernementales, au moins 90 pour cent des quelque 450 millions de travailleurs indiens sont employés dans le secteur dit « informel ». L’écrasante majorité d’entre eux n’ont aucune protection juridique. La plupart gagnent leur vie comme petits vendeurs « indépendants » ou ouvriers journaliers, effectuant les travaux les plus subalternes.
Sur les 45 millions de travailleurs restants du secteur « formel » ou « organisé », 29 pour cent au plus, soit quelque 13 millions, sont salariés réguliers à temps plein. Ils bénéficient d’avantages garantis tels que congés payés, vacances et certaines prestations retraite.
« Plusieurs clauses surprenantes du Code créent effectivement un régime juridique où les grèves sont impossibles et où les travailleurs ne seront plus libres d’organiser ou même de participer à des grèves pacifiques. Ils seront pénalisés s’ils le font et les amendes imposées serviront à financer la sécurité sociale ».
Selon diverses agences gouvernementales, au moins 90 pour cent des quelque 450 millions de travailleurs indiens sont employés dans le secteur dit « informel ». L’écrasante majorité d’entre eux n’ont aucune protection juridique. La plupart gagnent leur vie comme petits vendeurs « indépendants » ou ouvriers journaliers, effectuant les travaux les plus subalternes.
Sur les 45 millions de travailleurs restants du secteur « formel » ou « organisé », 29 pour cent au plus, soit quelque 13 millions, sont salariés réguliers à temps plein. Ils bénéficient d’avantages garantis tels que congés payés, vacances et certaines prestations retraite.