Dans la physique mécanique ancienne, les vitesses s’additionnaient. Si on courait dans le wagon du train, on avait une vitesse qui était la somme de la vitesse de la course et de la vitesse du train. Cependant, on s’est aperçu que la lumière, elle, ne pouvait accroître sa vitesse même si la source était animée d’une grande vitesse. Puis on a constaté que rien ne pouvait aller plus vite que la lumière.
Cela n’a l’air de rien mais cela a obligé à bien des changements et pas seulement dans les équations du mouvement.
Et d’abord cela a amené à considérer que le fait de savoir si deux émissions de lumière ne deux points séparés avaient lieu en même temps n’étaient pas possible...
Or on imaginait le temps comme un phénomène général et non local. La notion de simultanéité de deux événements n’avait jamais été remise en cause jusque là....
Dans la physique mécanique ancienne, les vitesses s’additionnaient. Si on courait dans le wagon du train, on avait une vitesse qui était la somme de la vitesse de la course et de la vitesse du train. Cependant, on s’est aperçu que la lumière, elle, ne pouvait accroître sa vitesse même si la source était animée d’une grande vitesse. Puis on a constaté que rien ne pouvait aller plus vite que la lumière.
Cela n’a l’air de rien mais cela a obligé à bien des changements et pas seulement dans les équations du mouvement.
Et d’abord cela a amené à considérer que le fait de savoir si deux émissions de lumière ne deux points séparés avaient lieu en même temps n’étaient pas possible...
Or on imaginait le temps comme un phénomène général et non local. La notion de simultanéité de deux événements n’avait jamais été remise en cause jusque là....
Robert Paris