En réponse à :
7 février 2010 18:58, par Ramiro
Extrait d’un livre qui se nomme La Bolivie sous le couperet : Partie 1
Les quetchuaymaras ont des chefs qu’ils appellent Wilkas. Ce nom permet aux chefs des indiens de rester dans le clandestinité. A la tête de leurs troupes, ils harcèlent l’ennemi blanc : cette guérilla ne ralentit nullement pendant l’époque républicaine.La répression créole est aussi féroce que la coloniale.
"L’histoire officielle, avec une pudibonderie explicable, jette un voile discret sur des évènements aussi terribles que le massacre de 600 paysans le 28 juin 1869 à San Pedro, qu’une autre tuerie, celle de Guaycho, du 2 au 5 (...)