Ce que nous voulons et ... ce dont nous ne voulons plus
5 février 2010, 09:07, par Robert Paris
Darwin n’a cessé de montrer qu’il n’y avait pas d’un côté l’homme et de l’autre l’animal, même si les hominoïdes sont un branchement différent ou plutôt un des buissons de l’évolution. Son livre de 1859, L’Origine des espèces, fit de l’évolution à partir d’une ascendance commune l’explication scientifique dominante de la diversification dans la nature. Il examina l’évolution humaine et la sélection sexuelle dans La filiation de l’homme et la sélection liée au sexe, suivi par L’expression des émotions chez l’homme et les animaux.
Il en conclut que la tendance à séparer l’homme découlait des idéologies religieuses et non des observations de la réalité.
Et surtout, il n’y a aucune supériorité inhérente à l’homme....
Darwin n’a cessé de montrer qu’il n’y avait pas d’un côté l’homme et de l’autre l’animal, même si les hominoïdes sont un branchement différent ou plutôt un des buissons de l’évolution. Son livre de 1859, L’Origine des espèces, fit de l’évolution à partir d’une ascendance commune l’explication scientifique dominante de la diversification dans la nature. Il examina l’évolution humaine et la sélection sexuelle dans La filiation de l’homme et la sélection liée au sexe, suivi par L’expression des émotions chez l’homme et les animaux.
Il en conclut que la tendance à séparer l’homme découlait des idéologies religieuses et non des observations de la réalité.
Et surtout, il n’y a aucune supériorité inhérente à l’homme....