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Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

19 décembre 2018, 16:14, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

— -Bonjour.

— -Parlons du contenu de l’article : :

— -Ce que dit ce M. Jean-Paul AUFFRAY, dans "L’atome", au début de votre article, est pour ma part légèrement faux, même si son récit n’est que le rapport des constations d’expérience sur cet effet tunnel, et où cette vitesse de lumière supraluminique est constatée. De dépasser 5 fois la vitesse la lumière n’a rien d’étonnant pour ma part, sachant de plus que c’est la même lumière et donc les mêmes photons, qui soient passent dans un tunnel adapté ou hors de ce tunnel, et il n’est pas utile de faire porter cela à la mécanique quantique, car des expériences pourraient être faites dans le macroscopique et à notre échelle. La quantique est sans rapport avec ce constat qui paraît stupéfiant par rapport aux dites constantes ne pouvant être dépassées. Dès que des anormalités sont constatées, et bien on met sur le dos de la quantique, ces effets non compris, et c’est pour cela que je dis que c’est légèrement faux, car l’expérience est une chose, et l’interprétation est autre chose, car déjà des individus différents pourraient interpréter différemment.

— -D’ailleurs de ce que nous connaissons des expériences de physique, ne sont toujours que des citations et des rapports plus ou moins condensés et même mal rapportés, mais jamais les vraies conditions des expériences elles-mêmes et tout ce qui va avec, car ce qui est rapporté, n’est pas le vrai rapport de l’expérience, mais un condensé plus ou moins adapté et enjolivé par l’écriture, et qui peut être faussé par l’interprétation et qui donne déjà des faussetés, Au lieu de dire "Selon notre point de vue" (car on ne connaît pas les autres personnes ayant rapportées) ou encore "dont la largeur ou le diamètre est du même ordre de grandeur que la longueur de son pas" car on ne sait pas de quoi on parle, et encore avant "les quanta peuvent aller soit moins vite soit plus vite que la lumière et peuvent transporter une énergie soit plus petite soit plus grande que hµ", et bien dans cette dernière phrase c’est déjà une interprétation possible, mais qui ne correspond en rien à une vraie réalité, et aux conditions de l’expérience, car qu’elle est la longueur du tunnel, et est-il circulaire ou non, si non qu’elle dimensions de fente ? La lumière de test est-elle polarisée ou non, c’est à dire circulaire/elliptique ou autre. Avant de donner une interprétation quelconque, on devrait déjà définir les conditions de l’expérience, mais le problème de ces physiques est que nous n’avons jamais accès aux vraies résultats d’expériences et ses conditions, mais toujours d’interprétations de résultats, et qui forcément fausse la donne et la compréhension. Le commentaire "Le phénomène fascine... et embarrasse les physiciens" est sans rapport avec la compréhension et l’interprétation de l’expérience pour d’autres personnes, car quand on regarde le nombre de citations de personnes concernant la pensée et les idées de M.Einstein, et bien c’est plus que ce Monsieur aurait pu faire, et de plus quelque fois, les réinterprétations sont totalement fausses.

— -Que l’on expose déjà des faits et les conditions de l’expérience, avant de les interpréter, car pour d’autres personnes l’interprétation serait peut être différente que ce que l’on essaie de nous expliquer. Si je dis du point A au point B il y a telle distance qui est comprise à vol d’oiseau et que on doit parcourir, mais que pour parcourir cette distance il faille monter et descendre des talus, et bien la distance dont on parle est faussée, car si l’on parcours cette distance sur un support donné non plan, la distance serra autre. En continuant par une mauvaise crique, qui est donc négative, et bien ce commentaire "On ne peut pas exploiter cet effet pour transférer de l’énergie à une vitesse moyenne supérieure à celle de la lumière", n’est pas de l’ordre de l’expérience elle-même. Et pour terminer "C’est ce qui nous fait dire que la lumière a une vitesse c bien déterminée, toujours la même dans le vide". Et bien non la vitesse de la lumière n’est pas une constante, car déjà on vient de dire exactement le contraire, car si dans le tunnel elle a une certaine vitesse et hors tunnel la vitesse est dite normale, c’est que le vide du tunnel n’est pas le même vide que hors tunnel. Au lieu de s’aventurer avec des histoires de quanta quantum et à petite échelle, et bien d’autres solutions existent sans rapport avec la mécanique quantique.

— -Le but de mes critiques n’est pas de dénoncer systématiquement en mal, car je serais alors stupide et mauvais, mais de dire ce qui est, c’est à dire beaucoup de personnes scientifiques ou non, se prononcent sur des notions ou faits, sans même bien énumérer ce que sont ces faits, et que leur avis est difficile à comprendre, si le contexte est mal relaté.

— -Comme la lumière n’est pas détectable transversalement, on ne peut rien dire sur son parcours, car les seuls tests sont fait frontalement, et quand les tests sont fait, les photons ne poursuivent pas leur chemin. En d’autres termes, un seul et unique photon ne peut être détecté que par un seul et unique observateur, ou une seule et unique machine.

— -Pour contredire ce que dit Wikipédia dans l’article, et bien si on peu largement dépasser la vitesse de la lumière, et c’est justement elle-même qui peut se propager plus vite mais dans des conditions particulières, que dans celle du vide, dont ce site est incapable de non donner plus d’information sur soit disant vide absolu...

— -Dans effet HARTMAN et cette phrase "Compte tenu de l’épaisseur de la barrière tunnel". Et bien pas clair car un tunnel est en fait un trou, un couloir, un passage entouré, et ces notions n’ont pas de barrière, car justement donnent un certain passage sans obstacle, car cela ne serait plus un tunnel, ou alors un tunnel fermé ou bouché...

— -Citation de l’auteur lui-même de l’article sans doute : : "Une théorie quantique du champ de gravitation doit donc elle aussi conduire à des fluctuations quantiques violentes, mais transitoires, de la structure de l’espace-temps avec apparition temporaire de trous de vers et de trous noirs virtuels." Et bien pour ma part, les trous de vers existent à toutes les échelles possibles et inimaginables, car qu’est-ce qu’un trou de vers ? Et bien un trou de vers n’est simplement qu’un couloir unique reliant non virtuellement deux objets entre eux, et que ces objets soient de masses énormes comme les trous noirs que l’on ne peut pas voir, ou que cela soit des éléments subatomiques, et bien un couloir existe et est une réalité entre deux objets et ce indépendamment de leur masse, sauf pour les photons, où cette notion de couloir ou trou de vers n’existe pas. Ce couloir n’a rien d’extraordinaire, car c’est simplement les forces conjuguées de chaque masse, et qui sont celles de Newton sans même utiliser les notions de M.Einstein. L’attirance apparente des objets dont on dit que c’est la gravitation, génère un couloir dit trou de vers entre 2 objets quelconques. Pour le dire avec des exemples, et bien entre terre et lune existe un couloir, entre terre et soleil existe un couloir, entre noyaux atomique et électron existe un couloir, même si l’électron n’est pas un corpuscule mais un essaim d’entités inconnues. Pour reprendre ce qualificatif de "temporaire" pour les assimiler a des trous de vers ou de trous noirs, et bien ma conviction est que rien est temporaire mais justement toujours permanent, ainsi la liaison terre-lune terre-soleil comme noyau-électron sont permanentes. Pour le dire autrement l’attraction constatée n’est pas temporaire mais constante, et que cette attraction génère un couloir permanent entre 2 objets même si ils sont en mouvement, et que ce couloir est dit trous de vers.

Bonne journée.
JFP/Jean-François POULIQUEN.

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