Ecologie et grippe instrumentalisés pour faire face à la crise
21 décembre 2015, 08:13, par Robert Paris
Le danger est faible puisque la maladie n’est jamais passée à l’homme mais il est d’autant plus grand que l’homme est plus longuement en contact avec elle. Donc plus l’homme est en contact avec des animaux malades et plus il consomme de volailles en contact avec la maladie, plus le risque d’adaptation à l’homme est grand. la politique du gouvernement de laisser la population consommer de la volaille augmente donc les risques.
Le danger est faible puisque la maladie n’est jamais passée à l’homme mais il est d’autant plus grand que l’homme est plus longuement en contact avec elle. Donc plus l’homme est en contact avec des animaux malades et plus il consomme de volailles en contact avec la maladie, plus le risque d’adaptation à l’homme est grand. la politique du gouvernement de laisser la population consommer de la volaille augmente donc les risques.