La grève des camionneurs a paralysé durant une semaine le port de Béjaïa. « On n’a pas encore évalué le manque à gagner après cette semaine de grève, mais on a subi un manque à produire de l’ordre de 25 000 tonnes [toutes marchandises confondues] par jour à évacuer. Le déchargement des navires a été gêné. Le nombre de bateaux en rade a doublé. Nous avions, environ, 12 navires en rade avant le déclenchement de la grève et nous sommes actuellement à 26 navires », affirme Djelloul Achour, le PDG de l’Entreprise portuaire de Béjaïa.
Les camionneurs ont déclenché leur mouvement de protestation dimanche 3 janvier pour réclamer une hausse des tarifs des transports, après l’augmentation des prix des carburants. Mercredi dernier, ils ont bloqué l’accès à la ville de Béjaïa pour exprimer leur revendication.
La grève des camionneurs a paralysé durant une semaine le port de Béjaïa. « On n’a pas encore évalué le manque à gagner après cette semaine de grève, mais on a subi un manque à produire de l’ordre de 25 000 tonnes [toutes marchandises confondues] par jour à évacuer. Le déchargement des navires a été gêné. Le nombre de bateaux en rade a doublé. Nous avions, environ, 12 navires en rade avant le déclenchement de la grève et nous sommes actuellement à 26 navires », affirme Djelloul Achour, le PDG de l’Entreprise portuaire de Béjaïa.
Les camionneurs ont déclenché leur mouvement de protestation dimanche 3 janvier pour réclamer une hausse des tarifs des transports, après l’augmentation des prix des carburants. Mercredi dernier, ils ont bloqué l’accès à la ville de Béjaïa pour exprimer leur revendication.