A nouveau sur la philosophie des mathématiques et celle des sciences
22 décembre 2012, 10:41, par RP
« trois est justement par définition ce qu’il y a de commun entre trois électrons et trois vaches. » dis-tu.
Mais c’est malheureusement une description qui ignore les interactions et ne fait que totaliser.
Un atome d’hydrogène n’est absolument pas un proton plus un électron au sens additif.
Le monde n’est additif du tout.
Personne ne veut nier l’intérêt des mathématiques. Il s’agit seulement d’en nier la conception idéaliste qui ne récuse pas le caractère conceptuel mais en voit le côté contradictoire..
Le concept ne décrit pas la réalité mais est dans une contradiction dialectique avec elle.
« trois est justement par définition ce qu’il y a de commun entre trois électrons et trois vaches. » dis-tu.
Mais c’est malheureusement une description qui ignore les interactions et ne fait que totaliser.
Un atome d’hydrogène n’est absolument pas un proton plus un électron au sens additif.
Le monde n’est additif du tout.
Personne ne veut nier l’intérêt des mathématiques. Il s’agit seulement d’en nier la conception idéaliste qui ne récuse pas le caractère conceptuel mais en voit le côté contradictoire..
Le concept ne décrit pas la réalité mais est dans une contradiction dialectique avec elle.
Voir : L’abstraction, processus dynamique dialectiquement contradictoire indispensable à la pensée humaine