Le docteur Chevallier estime que les bilans des autorités haïtiennes sont « sous-évalués, les notifications sont imparfaites, il y a des zones où des personnes meurent et personne ne le sait » rappelant que « les deux tiers du territoire haïtien ne sont accessibles qu’à pied ».
Le docteur Chevallier estime que les bilans des autorités haïtiennes sont « sous-évalués, les notifications sont imparfaites, il y a des zones où des personnes meurent et personne ne le sait » rappelant que « les deux tiers du territoire haïtien ne sont accessibles qu’à pied ».