Les mineurs d’Afrique du sud poursuivent leur grève
12 octobre 2015, 07:50
En Afrique du Sud, 30 000 mineurs de l’industrie du charbon se sont mis en grève, dimanche 4 octobre, pour réclamer des augmentations de salaire. C’est le syndicat minier NUM, majoritaire dans cette filière, qui a initié le mouvement social.
La grève illimitée des mineurs du charbon fait suite à l’échec des négociations entamées depuis plusieurs semaines entre la Chambre des mines et le syndicat NUM.
Ce dernier réclame une revalorisation du salaire de base de 12% à 13% pour les ouvriers, soit 64 euros par mois, alors que le patronat ne souhaite pas aller au-delà de 20 euros (300 rands) d’augmentation mensuelle.
La NUM a tiré une leçon de Marikana : ne pas apparaître directement comme anti-grève et ne pas rechigner à prendre la tête des luttes, quitte à les envoyer dans l’impasse d’une autre manière.
En Afrique du Sud, 30 000 mineurs de l’industrie du charbon se sont mis en grève, dimanche 4 octobre, pour réclamer des augmentations de salaire. C’est le syndicat minier NUM, majoritaire dans cette filière, qui a initié le mouvement social.
La grève illimitée des mineurs du charbon fait suite à l’échec des négociations entamées depuis plusieurs semaines entre la Chambre des mines et le syndicat NUM.
Ce dernier réclame une revalorisation du salaire de base de 12% à 13% pour les ouvriers, soit 64 euros par mois, alors que le patronat ne souhaite pas aller au-delà de 20 euros (300 rands) d’augmentation mensuelle.
La NUM a tiré une leçon de Marikana : ne pas apparaître directement comme anti-grève et ne pas rechigner à prendre la tête des luttes, quitte à les envoyer dans l’impasse d’une autre manière.