Le gouvernement « socialiste » réprime brutalement les manifestations contre le meurtre par la police de Rémi Fraisse
23 novembre 2014, 19:29
Des rassemblements contre "la répression étatique" et les "violences policières" ont eu lieu samedi dans plusieurs villes françaises. Ils ont dégénéré en affrontements avec les forces de l’ordre à Toulouse et Nantes et donné lieu à une quarantaine d’interpellations.
Selon le ministère français de l’Intérieur, qui impute ces incidents à des "groupes isolés", deux policiers ont été légèrement blessés à Toulouse et un à Nantes. "Quelques débordements" ont aussi été "contenus" à Bordeaux et Lille, a ajouté le ministre, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué. Il a fait état de 38 interpellations au total.
A Toulouse, un rassemblement non autorisé a réuni 600 à 1000 personnes. Celles-ci protestaient contre le barrage de Sivens (Tarn) et la mort d’un jeune militant écologiste, Rémi Fraisse, tué par une grenade offensive le 26 octobre, sur ce site, lors de heurts avec des gendarmes.
Des rassemblements contre "la répression étatique" et les "violences policières" ont eu lieu samedi dans plusieurs villes françaises. Ils ont dégénéré en affrontements avec les forces de l’ordre à Toulouse et Nantes et donné lieu à une quarantaine d’interpellations.
Selon le ministère français de l’Intérieur, qui impute ces incidents à des "groupes isolés", deux policiers ont été légèrement blessés à Toulouse et un à Nantes. "Quelques débordements" ont aussi été "contenus" à Bordeaux et Lille, a ajouté le ministre, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué. Il a fait état de 38 interpellations au total.
A Toulouse, un rassemblement non autorisé a réuni 600 à 1000 personnes. Celles-ci protestaient contre le barrage de Sivens (Tarn) et la mort d’un jeune militant écologiste, Rémi Fraisse, tué par une grenade offensive le 26 octobre, sur ce site, lors de heurts avec des gendarmes.