Le nucléaire nous éclaire… sur la faillite du système
8 janvier 2017, 15:58, par R.P.
Areva n’est pas le seul groupe nucléaire à connaître une mauvaise passe. Il y a aussi Toshiba. Propriétaire de l’américain Westinghouse, le conglomérat japonais a annoncé qu’il allait sans doute devoir inscrire dans ses comptes des charges de dépréciation de « plusieurs milliards de dollars » suite à l’acquisition en 2015 du spécialiste de l’énergie nucléaire CB&I Stone & Webster.
La mésaventure de Toshiba - qui s’est soldée par un effondrement de son cours de Bourse - témoigne de la fragilité du secteur.
Areva n’est pas le seul groupe nucléaire à connaître une mauvaise passe. Il y a aussi Toshiba. Propriétaire de l’américain Westinghouse, le conglomérat japonais a annoncé qu’il allait sans doute devoir inscrire dans ses comptes des charges de dépréciation de « plusieurs milliards de dollars » suite à l’acquisition en 2015 du spécialiste de l’énergie nucléaire CB&I Stone & Webster.
La mésaventure de Toshiba - qui s’est soldée par un effondrement de son cours de Bourse - témoigne de la fragilité du secteur.