Pas de justice pour Zyed et Bouna, car la justice bourgeoise n’est pas la justice pour les millions de prolétaires
6 novembre 2016, 09:00
« Le combat va être long, grâce à vous on va aller jusqu’au bout », a déclaré Lassana, un frère d’Adama Traoré. « Aujourd’hui on marche pour Adama, pour la justice, pour la vérité. (...) Demain il faut marcher pour la révolution », a dit sa soeur, Assa, estimant mener non seulement un « combat face aux gendarmes », mais aussi « face à l’État qui n’a pas réagi » dans cette affaire. Adama Traoré est un « symbole des violences policières que subissent au quotidien les quartiers populaires », estime de son côté Élise, une militante d’extrême gauche. D’autres manifestants déployaient une banderole faisant référence à la revendication des policiers de réformer les règles de la légitime défense : « Face aux forces de l’ordre, extension de la légitime défiance. »
« Le combat va être long, grâce à vous on va aller jusqu’au bout », a déclaré Lassana, un frère d’Adama Traoré. « Aujourd’hui on marche pour Adama, pour la justice, pour la vérité. (...) Demain il faut marcher pour la révolution », a dit sa soeur, Assa, estimant mener non seulement un « combat face aux gendarmes », mais aussi « face à l’État qui n’a pas réagi » dans cette affaire. Adama Traoré est un « symbole des violences policières que subissent au quotidien les quartiers populaires », estime de son côté Élise, une militante d’extrême gauche. D’autres manifestants déployaient une banderole faisant référence à la revendication des policiers de réformer les règles de la légitime défense : « Face aux forces de l’ordre, extension de la légitime défiance. »