La crise grecque, une pécadille qui cache mal la catastrophe de la crise chinoise
13 octobre 2016, 18:16
Principal motif de préoccupation, les compteurs chinois s’affolent : la dette totale, comprenant les ménages, les entreprises (hors banques), l’État et les collectivités locales est déjà passée de 151% à 255% du PIB entre fin 2006 et fin 2015. Il s’agit du plus haut niveau d’endettement du monde.
La deuxième économie mondiale fait face à une difficile transition entre une économie s’appuyant sur les exportations et l’industrie, vers un modèle davantage tiré par la consommation intérieure et les services. Mais pour maintenir à bout de bras une croissance qui s’essouffle et des exportations en recul, les autorités bancaires chinoises ont ouvert les vannes du crédit.
Principal motif de préoccupation, les compteurs chinois s’affolent : la dette totale, comprenant les ménages, les entreprises (hors banques), l’État et les collectivités locales est déjà passée de 151% à 255% du PIB entre fin 2006 et fin 2015. Il s’agit du plus haut niveau d’endettement du monde.
La deuxième économie mondiale fait face à une difficile transition entre une économie s’appuyant sur les exportations et l’industrie, vers un modèle davantage tiré par la consommation intérieure et les services. Mais pour maintenir à bout de bras une croissance qui s’essouffle et des exportations en recul, les autorités bancaires chinoises ont ouvert les vannes du crédit.