Un sondage Ifop pour l’Essor de la gendarmerie confirme les enquêtes du Cevipof (Sciences Po) sur l’importance du vote d’extrême-droite dans les professions de la sécurité (militaires, gendarmes et policiers).
Le vote lepéniste serait particulièrement fort en Gendarmerie mobile (65%).
Sans surprise, pour les gendarmes, l’enjeu le plus important est celui de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme (74% contre 43% pour l’ensemble des Français). La question du chômage et de la protection sociale motivent moins les gendarmes que le reste de la population.
L’Ifop rappelle que 43% des gendarmes disent avoir voté pour Marine Le Pen en 2012, soit 8 points de moins qu’aujourd’hui, et pointe leur « tropisme droitier ».
En interne, des gendarmes reconnaissent également une poussée des opinions d’extrême-droite qui s’expriment désormais avec plus de liberté qu’auparavant.
Un sondage Ifop pour l’Essor de la gendarmerie confirme les enquêtes du Cevipof (Sciences Po) sur l’importance du vote d’extrême-droite dans les professions de la sécurité (militaires, gendarmes et policiers).
Le vote lepéniste serait particulièrement fort en Gendarmerie mobile (65%).
Sans surprise, pour les gendarmes, l’enjeu le plus important est celui de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme (74% contre 43% pour l’ensemble des Français). La question du chômage et de la protection sociale motivent moins les gendarmes que le reste de la population.
L’Ifop rappelle que 43% des gendarmes disent avoir voté pour Marine Le Pen en 2012, soit 8 points de moins qu’aujourd’hui, et pointe leur « tropisme droitier ».
En interne, des gendarmes reconnaissent également une poussée des opinions d’extrême-droite qui s’expriment désormais avec plus de liberté qu’auparavant.