Deux suicides de brancardiers en octobre dernier à l’hôpital Avicenne, un suicide d’infirmière à l’hôpital Saint Louis (contrainte de travailler au bloc opératoire contre sa volonté). Bien sûr, la direction affirme toujours que cela n’aurait rien à voir avec le travail à l’hôpital ! Le mal-être à l’APHP est considérable, mais c’est toujours l’omerta en ce qui concerne nos collègues qui se suicide, comme s’il tout allait bien dans le meilleur des mondes. Eh oui on parle de l’hôpital, là où on est sensés soigner des patients. Alors on comprend que le silence est de mise : comment comprendre que les soignés soient soignés par des soignants eux-mêmes rendus malades par ce management hospitalier ?
Des suicides que l’APHP veut ignorer
Deux suicides de brancardiers en octobre dernier à l’hôpital Avicenne, un suicide d’infirmière à l’hôpital Saint Louis (contrainte de travailler au bloc opératoire contre sa volonté). Bien sûr, la direction affirme toujours que cela n’aurait rien à voir avec le travail à l’hôpital ! Le mal-être à l’APHP est considérable, mais c’est toujours l’omerta en ce qui concerne nos collègues qui se suicide, comme s’il tout allait bien dans le meilleur des mondes. Eh oui on parle de l’hôpital, là où on est sensés soigner des patients. Alors on comprend que le silence est de mise : comment comprendre que les soignés soient soignés par des soignants eux-mêmes rendus malades par ce management hospitalier ?